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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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29 décembre 2006

le bilan de l'an

Alors que dans trois jours une adjonction unitaire à la somme (déjà) considérable d'années (en calendrier chrétien) nous fera passer (donc) dans une nouvelle année, (dont la somme des différents chiffres la constituant (?) est égale à neuf (sept plus deux), qui est, lui même, le carré de trois, et la moitié de dix-huit (comme aime à répondre mon géniteur à la phatique interrogation: " Quoi de neuf ? " " la moitié de dix-huit... " donc, enfin bref), toutes ces arithmétiques (et anecdotiques) considérations ne participant décidément guère à une bonne clarté de la présente note, mais agrémentant toutefois de distractives digressions un exposé qui, sans cela, serait peut-être plus clair, mais conséquemment plus terne, ou alors pas du tout...). Occultant une nouvelle fois (une habitude décidément tenace) la non-terminaison formelle et syntaxique de la phrase précédente, j'en viens au sujet de cette présente note: la présente année s'achevant, il peut être intéressant (ou pas) d'en dresser un bilan provisoire, forcément incomplet, (sans pouvoir malheureusement s'avancer sur son éventuelle (et pourtant souhaitable) concision (et clarté ?)). Cette année débutant (les archives blogguesques le confirment) sous des auspices guère favorables (situation personnelle globalement dépressionnaire (déjà ?), moultes soucis thermiques (cumulus taquin, maintenant défunt, gambadant allègrement dans les étendues édéniques du paradis cumulique ou condamner à brûler (ironie du sort...) dans les bûchers sataniques (et toujours cumuliques), ainsi que chaudière singulièrement affaiblie, et à terme similairement défunte)), après des débuts difficiles donc, cette année, à l'arrivée du printemps, me permit toutefois de reprendre un peu du poil de la bête (?) et de me redresser tel le roseau (maintes fois évoqué en ces lieux). Adversité décidément taquine et retorse oblige, alors que je reprenais un peu de mon panache (?), ne voilà alors-t-il point qu'un (dommageable), surprenant (et inopportun) incident cardio-vasculaire faillit me faire suivre le même chemin (malencontreusement) défuntique que cumulus et chaudière sus-evoqués. Fortuitement (?), profitant des dernières innovations en terme de technologies cardio-vasculaires (tournant principalement autour du concept (relativement) élémentaire de " ressort ", deux de ces élémentaires éléments (poétiquement nommés " tsunamis ") incorporés à mon organisme permettant maintenant (jusqu'à quand ?) le bon fonctionnement de mon flux sanguin), je survivais donc à ce (légèrement) traumatique incident, qui induit par la suite un nombre conséquent de modifications comportementales, à commencer par l'interruption de consommation nicotinique et, entre autres, le ré-équilibrage rigoureux (un tantinet radical) de mon régime alimentaire. Néanmoins, (et même si je m'autorise parfois quelques (minimes) écarts alimentaires, mais point encore nicotinique), force est de constater, à mon grand dam, l'absence (préoccupante) d'un (pourtant attendu compte tenu de cette (nouvelle) hygiène de vie) bien-être (par ailleurs) tant physique que psychologique qui plus est comme l'attestent certaines notes résolument désabusées, voire incontournablement déconfites. Ceci entraînant cela, force est de constater également une progressive disparition au cours de cette année de ma personne du monde global, réduisant singulièrement sorties, contacts extérieurs et cotoyances fémino-personniques, ainsi, en ce dernier trimestre, que l'absence quasi totale de relation avec le monde amicalo-professionnel... Toutefois il peut être intéressant (ou pas) de remarquer, qu'en cette fin d'année, différents processus sanitaires et psychologiques ont été " enclenchés " (sur de nombreux fronts concomitants...) par l'auteur (un peu las) de cette présente phrase afin d'envisager (sereinement ?) une amélioration signifiante et notable d'un état général passablement bas depuis une période commençant à devenir fort (agaçante et) préoccupante. A n'en point douter donc, une fois (et pas forcément dans cet ordre) ma dentition rénovée, ma vision ré-ajustée, ma situation cardio-vasculaire stabilisée, mon relookage global achevé, mon équilibre mental et psychologique retrouvé, mes finances ré-équilibrées, ma carrière professionnelle relancée, mon tissu social redéveloppé, ma vie sentimentale restimulée, (et bien d'autres choses auxquelles l'on peut adjoindre un qualificatif précédé de " ré ", entraînant sémantiquement la reprise de quelque chose de bien (?), voire la retrouvance d'un état (plutôt positif) malencontreusement disparu), les choses iront déjà significativement mieux. Ce qui, par certains côtés, est assez rassurant (et comme toujours, par d'autres, pas du tout). En même temps, Rome ne s'est pas fait(e) en un jour... Merci de votre attention.
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Commentaires
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A ma quasi honte, car je ne me plais à forfanter, je dois déclarer pour rester honnête un bilan annuel plus positif: <br /> Naissance d'un petit fils, rencontre du virus du chikongunya, fin des activités salariées, voyages en deux pays étrangers, mes ennuis de cumulus ont été vaincus de me propres mains pour une dépense relativement modeste, quelques tracas voituriques m'ont ponctionné plus que de raison mais <br /> toutefois pour un nombre supportable d'euros évanouis.<br /> La disparition des relations amicalo professionnelles, consécutive à mes nouvelles fonctions sociales, n'a pas été sans me causer comme un tracassin, mais l'évaporation des contraintes labeuriques (dont je pensais pourtant ne pas souffrir) a contrebalancé positivement au bilan de cet évennement.<br /> Aussi ce n'est pas sans une certaine gêne que je déclare souhaiter que les quelques bagatelles énumérées se véhiculent du désirable à l'effectif.
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