4 novembre 2007
la prévoyance départante
Alors que l'information hier encore carrante (cf. la note d'hier (justement) intitulée " l'(illusoire) activance ") s'est vue, en fin de journée hiéresque, révélée, permettant (enfin ?) un début d'organisation planificatrice pour les jours qui viennent, multipliant (exceptionnellement) les rendez-vous partenariaux amicalo-professionnels, il n'en reste pas moins qu'avant une (nouvelle) séance labeurique en fin d'après-midi, (dans le cadre d'un projet résolument hypothétique), j'ai (agréablement) déjeuner en charmante compagnie d'une très bonne amie (autrefois très prochement côtoyée) sur une terrasse ensoleillée, contournant (exceptionnellement) le traditionnel repas dominical avec géniteurs.
Il peut être intéressant (ou pas) de remarquer que cet (illusoire ?) accroissement activique (et fréquentatoire) semble être, (inconsciemment ?) en partie, motivé par une (future) translation (très) lointaine de ma personne dans le cadre de la (future) réalisation (exceptionnelle) d'un (ancien) projet non hypothétique, cette dernière translation présentant quelques (peu mais tout de même) éventuels risques quant à ma situation sanitaire cardio-vasculaire (long trajet aérien, structures locales, sanitaires et hospitalières sans grandes garanties, etc.), profitant de cette période pré-départante pour un (éventuellement dernier) tour de table amicalo-partenarial, au cas ou...
Cela dit, j'ai (finalement) tout autant de probabilités de me faire écraser en traversant la chaussée pour aller prendre un café sur le boulevard.
Comme quoi...
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