la (confuse) note départante

Après une (toute relative) incroyable (?) absence de note en ce lieu blogguesque (malencontreusement) déserté (la faute principalement à un hiver rigoureux et un tantinet pénible, ainsi qu'à une naturelle inertie activique, pénibilitude globale toutefois contre-balancée par quelques (progressivement) fréquentes fémino-cotoyances d'une  " charmante et féminine créature dotée (outre d'évidents et agréables caractéristiques anatomiques) d'une énergie vitale, joyeuse et vivace fort appréciable en ces temps plutôt difficiles et confus. ", comme je l'écrivais (littéralement) en partie quasi-terminale d'une lointaine note précédente (celle-ci), cette même note où, introductionnellement je constatais la (patente) difficulté à reprendre le cours de ces rédactions notiques toujours (éternellement ?) un tantinet confuses, si souvent sujettes à d'arbitraires et (un tantinet) perturbantes digressions obscures, balayant d'un revers de la (métaphorique) main syntaxe et clarté, pertinence sémantique et compréhension.

Dont acte.

Enfin bref, m'apprêtant dans quelques courtes heures à une translation géographique de ma personne en une lointaine contrée évoquée ici, il me paraissait important de venir le notifier ici et signaler ainsi (d'une bien inutile façon, j'en suis très humblement conscient, voire même un tantinet dépité) mon absence de rédaction notique en cet espace blogguesque déserté durant ce (court) séjour à l'extérieur de mon domicile intra-national. Information claire (?) et précise (?) qui ramenée à l'évidente et naturelle constatation du présent silence qui règne en ce lieu depuis plusieurs semaines en perd singulièrement de sa superbe (?), ce qui ne nous amène (de toutes les façons) pas beaucoup plus loin dans la cohérence de cette (présente) note.

(en même temps, je sentais bien que c'était pas gagné...)

Je crois que je vais aller boire un verre d'eau. Tiens donc.

Merci de votre attention.

Comments

[xiao-bob]

La rareté des choses en fait dit-on le prix et aussi je me sens en devoir de décortiquer cette note afin d'en extraire toute la moelle (que Rabelais dit substantifique)
Je précise que le terme décortiquer m'interpelle alors même que la fantaisie me le fait employer puisque pour dé-cortiquer un écrit ou autre ensemble de lettres ou phonèmes, encore faudrait il savoir ce que c'est que "cortiquer" ledit ensemble et connaître, de même en quoi pouvons nous savoir qu'il est cortiqué.
On a bien du mal, bien que cette semaine les oiseaux aient été assez bons pour nous laisser des cerises ce qui ne s'était rencontré depuis nombre d'années.
Ne prenant pas la note dans l'ordre, j'ai été intrigué par le balayage du revers de la main et me suis mis en devoir d'expérimenter cette pratique ménagère.
Après quelques minutes j'ai du admettre que cette pratique est à proscrire car le balayage obtenu est médiocre et que de plus elle a l'inconvénient de salir la main et d'y faire entrer des échardes, lesquelles étant souillées de poussières ont toutes les chances de communiquer une infection des plus préjudiciable à la santé tant qu'à la pratique du tennis et de toute autre activité manuelle.
Il en résulte que je déconseille totalement cette façon de faire et rappelle que l'industrie chinoise fabrique à notre intention des appareils nommés aspirateurs qui donnent relativement satisfaction dans le cleanage des surface parterresques, encore que.
Je ne sais que penser de la façon d'incriminer l'hiver. Les saisons ont toujours bon dos qu'on accuse à tort et à travers. Le réputé? chanteur canadien Gilles Vignaud ne chantait-il pas, puisque tel était son métier, que l'on n'a jamais l'hiver qu'on veut et diantre les canadiens s'y connaissent en hivers.
Fort judicieusement ce propos de saison m'induit signaler que la semaine passée, dès le premier jour du mois qui ressemblait à l'été, déjà mains et maintes se plaignaient des intolérables ardeurs du soleil tant et si bien que depuis l'astre ainsi nommé nous boude de nouveau et que cette vesprée une température très inférieure aux moyennes saisonnières m'a poussé à passer une petite laine ce qui reste de nul effet sur l'extrémité de mes membres inférieurs qui se glacent.
Voilà l'essentiel que j'ai pu décortiquer, ce qui est peu et laisse penser que la note ci dessus bloguée n'avait peut être pas été suffisement cortiquée et qu'il conviendra de veiller à ce que les suivantes le soient plus abondamment .
Enfin car il en faut une, une inquiètude encore: Un écrit, une chose ou que sais-je d'autre ayant été décortiqué, reste-t-il possible de le recortiquer ?

[gilda]

Ben à part la désertion bloguesque que de toutes façons nous avions constatée, voilà de fort bonnes nouvelles.
(Ce serait juste encore mieux si tu translatais par ou vers Paris avec un peu de temps).