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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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28 janvier 2011

l'iconique créature

 

Il y a plusieurs mois, je recevais dans ma (virtuelle) boîte aux lettres (mailesques) l'annonce d'une manifestation (dans un domaine spécifique), envoyée par une amie (et prévisiblement future partenaire amicalo-professionnelle), annonce illustrée entre autre par la photo d'une très charmante féminine créature. En dehors de l'évidente (?) beauté esthétique de la jeune femme photographiée, je ne restais pas insensible (euphémisme...) à ce que son attitude dégageait, comme une sorte d'inquiétude interrogative et trouble, assez inhabituelle à mon goût (en même temps je n'y connais pas grand chose dans ce domaine...) et générant donc un charme autant trouble que certain. J'eus même l'occasion, quelques jours après la réception internique, d'en parler avec l'amie sus-évoquée qui m'apprit qu'effectivement cette iconique féminine créature faisait débat...

La semaine dernière, en stagnation terrassique et observance de l'espace public environnant, apparut dans mon champ de vision une (charmante) féminine créature un tantinet empressée qui venait s'approvisionner en cigarettes (puisque nous le savons bien, en plus d'être un débit de boissons et de cafés, ainsi qu'un espace alimentatif (?) aux heures de déjeuner, le troquet concerné vend aussi produits nicotineux et autres confiseries). Quand elle ressortit, il me sembla reconnaître dans le regard quelque chose de similaire au modèle sus-évoqué, même si le maquillage et l'allure générale différaient évidemment. Mais son passage fut trop rapide pour que je puisse effectivement confirmer cette fugace sensation.

Ce matin, en pleine prise caféïque (tiens donc) au bar en bas du boulevard, re-belote, l'apparition réapparaît (!), un peu moins empressée (et même plutôt hésitante cette fois-ci), entre dans le bar, prend des cigarettes, ressort et, après une légère nouvelle hésitation, poursuit son chemin sur le boulevard horizontal, passant à quelques mètres de moi, un tantinet tétanisé. Et une nouvelle fois, il me semble reconnaître la même personne, sans arriver vraiment à déterminer s'il s'agit de l'excessivement trouble et charmante féminine créature (virtuellement) arrivée il y a quelques mois dans mon réceptacle informatique (?), d'autant plus que ne possédant strictement aucune information sur la localisation géographique (probablement capitalienne ?) de son intérieur domestique.

Plus tard dans la journée, en début d'après-midi, sortant de chez moi et descendant le boulevard descendant pour une (nouvelle) prise caféïque au bar en bas du boulevard, j'appelle cell-phoniquement l'amie (et future partenaire amicalo-professionnelle) introductionnellement évoquée pour obtenir quelques précisions spécifiques sur le (futur) projet non hypothétique (mais toujours pas de beaucoup), et en profiter éventuellement pour glaner quelques informations (qu'elle ne doit d'ailleurs probablement pas posséder) sur la (très) charismatique personne qui aurait (toujours éventuellement) élue domicile dans le territoire quartiéral. Tombant (sans me heurter) sur son répondeur, je laisse un message amical et bref, raccroche et continue mon chemin en direction du bar, chemin nécessitant topographiquement un passage devant la boulangerie. D'où ressort, à ma grande satisfaction, la toujours excessivement trouble et très charmante féminine créature déjà croisée ce matin !

Tout cela étant, outre la forte improbable récurrence fémino-croisante, sans strictement aucune conséquence, l'on s'en doute, sur l'incontournable continuité de ma (présente) traversée désertante, (n'ayant toujours aucune nouvelle de Nicole K. (dont je parlais il y a quelques temps), ni de la charmante féminine créature aux beaux yeux bleus (dont je parlais également il y a quelques temps)...), il n'en reste pas moins, une fois n'est pas coutume, que je me permets de figurer ici l'image, de toutes les façons déjà publique, de cette magnifique féminine créature permettant ainsi et pour une fois, aux internautes (qui doivent par ailleurs un peu s'en foutre) de mettre enfin (!) un visage sur au moins l'une des féminines créatures (récuremment) évoquées en cet espace blogguesque.

Dont acte.Image

 

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Commentaires
G
Ah bon tu trouves du charme à cet air buté et revêche ? Décidément, les hommes, je ne les comprends pas.
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