le froid printanier
Aujourd'hui, deux respectives et (très) charmantes féminines créatures m'ont spontanément souri. L'une à la terrasse (chauffée) du bar en bas du boulevard, et l'autre croisé en remontant le boulevard ascendant. Il peut être intéressant (ou pas) de signaler, par souci d'honnêteté intellectuelle, que la présence sur ma tête d'une (imposante) chapka (noir) ainsi que la (non moins imposante) doudoune (déjà évoquée ici) dont je ne me sépare pas lors des déambulations en milieux extérieurs sont deux éléments (visuels) qui (raisonnablement) pourraient expliquer ces (par ailleurs bien agréables) sourires charmantement féminins.
Ou sinon, occultant allègrement l'absence de rédaction et postance de note depuis la semaine dernière (durant laquelle il ne s'est rien passé de spécial, mais dans un climat global toujours assez agréable et plaisant), en ce moment (on en parle assez un peu partout), il fait plutôt froid.