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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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17 janvier 2014

602 jours plus tard

Alors que six cent deux jours (soit un an, sept mois et vingt-trois jours) se sont écoulés depuis la dernière publication dans cet espace blogguesque (singulièrement déserté), force est de constater que, pour d'aucuns et/ou d'aucunes, il serait (éventuellement) possible de considérer cette absence de postance comme une très exacte représentation (parfaitement) adéquate du Rien (global et particulier) qui (continue de) règne(r) (en maître ?) dans le monde. Ce n'est pas moi qui vais les contredire.

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Commentaires
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Probabilités les plus, conviendraient mieux<br /> <br /> <br /> <br /> l'accroissement du nombre de coquilles non perlières est une certitude à corriger dans les écrits que je commets.
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Il serait dans les probabilité les pus certaines qu'en cette semaine se découvre un créneau libre utilisable en plaisirs baristes ou déjeunables.<br /> <br /> <br /> <br /> Et la retournance bloguesque me comblerait de joie commentatrice
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Il peut être intéressant (ou pas) de remarquer que, depuis quelques temps, se profile effectivement dans les territoires nébuleux de l'intérieur interne de celui qui écrit ce blog, l'envisageance de plus en plus prégnante d'un retour par ici.<br /> <br /> Force est de constater toutefois la présence d'une interrogation conséquente sur la teneur d'une nouvelle relatation de ce rien quotidien qui, de par la marche incontournable du chaos global (et particulier), s'est vu singulièrement modifié depuis.<br /> <br /> Cela étant, il peut être également intéressant (ou pas) de signaler ici une nouvelle (et proche puisque mercredienne départante) translation géographique de ma personne en la Capitale pour une semaine. À bon entendeur...
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Et quelques 450 jours plus tard, nous restons sans délires Yviens. <br /> <br /> Le boulevard du haut et celui du bas continuent leur vie probablement.<br /> <br /> Mais nous septentrionaux, qui avons boulevards en l'urbe inclite qu'on vocite Lutèce, restons dans l'incertitude, génératrice de malaises, lesdits malaises pouvant nous induire à commettre toutes actions indésirables.<br /> <br /> Autant dire que nous non plus ne sommes pas rendus.
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En d'autres lieux, j'ai beaucoup déliré sur le rien. En l'espace pour ce faire je ne retourne pas non plus, j'ai peur que le rien ne finisse par m'engloutir.
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