27 août 2007
la (matinale) logistique transportante
Ce matin, m'étant levé très très tôt, (pour une particulière raison qui ne va pas tarder à être dévoilée à la présente audience internique, (toi donc présent(e) autant qu'hypothétique lectrice(-eur)), très passablement interloquée par ce (passablement itou) ressort (médiocrement) scénaristique), j'ai une première fois traversé (en partie) la cité phocéenne endormie dans un véhicule automobile emprunté à mes géniteurs, (m'étant, il y a quelques semaines, débarrassé du mien pour cause de souciance stationnique exagérée ainsi que d'usage down-townien (exagérément itou) compliqué par moult travaux publics disséminés un peu partout à fins tramwayiens), afin d'aller chercher ma soeur, (c'est la raison particulière misérablement dissimulée en introduction phrasique), et l'amener en un endroit plus lointain autant qu'extra-muros où de (très) grands véhicules motorisés pourvus d'ailes, de capitaines (probablement fortunés) et d'hôtesses (souvent) délicieuses et charmantes, (quoiqu'également parfois délicieux et charmants dans le cas plus spécifique de stewards), ont pour fonction principale de transporter des masses plus ou moins conséquentes de passager(e)s (consciencieusement fouillé(e)s) par dessus les airs.
Une fois ma soeur déposée à sa porte d'embarquement, (la porte 27, soit dit inutilement en passant), j'ai de nouveau traversé la cité phocéenne (s'éveillante) pour revenir chez mes parents où, après avoir garageusement déposé le véhicule parental, j'ai récupéré mon propre véhicule bicyclettien (temporairement) abandonné hier soir, et, une troisième fois, ai parcouru pédalistiquement le trajet down-townien afin de regagner mon intérieur domestique très (très) tôtement quitté ce matin.
Et maintenant, après une seconde douche régénérante, (la première quelques heures plus tôt se trouvant de surcroît réveillante), et après en avoir fini avec cette note thématiquement véhiculaire, je songe sérieusement à m'allonger paresseusement sur mon ensemble sommeillique, physiquement fixe, mais accessoirement transportant en divers lieux fictionnels (physiquement dévédiens), voire carrément oniriques en cas d'ensommeillement (prévisible).
Cette après-midi, j'essaierai de prendre le métro.
(Et reviendrais en bus... ou en taxi).
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