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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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27 octobre 2007

l'argumentaire définitif (et citatoire)

Il peut être intéressant (ou pas) de préciser ici que quiconque (?) mettrait en doute (?) l'assertion phrasique de la note juste précédente me verrait probablement, à titre d'argumentation (incontournablement ?) définitive, signaler que j'ai aujourd'hui déjeuné (en charmante compagnie) sur une (charmante) table terrassique autant que calanquienne, contemplant sous un soleil ensoleillé (?) l'immensité bleue tout en dégustant d'assez délicieux poivrons, assortis d'une anchoïade (artisanale) pas piquée des vers non plus. Remarquons au passage que l'expression " n'être pas piqué des vers " se trouve être contemporaine de " n'être pas piqué des hannetons ": être intense, extrême, (souvent ironique et péjoratif), ou encore " n'être pas piqué des sauterelles ": être remarquable, parfait (souvent ironique itou), toutes ces citations issues (maladroitement extraites) de mon (merveilleux ?) dictionnaire des expressions et locutions n'apportant aucun éclaircissement pertinent à une (éventuelle et) improbable justification sémantique de cette (présente) note. Vous remercier maintenant de votre attention, dois-je avant de me rendre en mon lieu cuisnique y quérir un (prévisible) verre d'eau, (voire deux...).
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Commentaires
P
:-)
X
Il est probablement en quelque univers, qui pour n'être connu de nous n'en a pas moins droit à l'existence, un lieu pareil à nos villes et bourgades dont les habitants ne supportent l'anchoïade qu'à l'expresse condition qu'elle soit piquée des vers. Pour peu qu'ils haïssent le soleil, préfèrent leurs femelles laides et ne se sentent bien que dans la tourmente, voilà au moins un lieu que nous n'ambitionnerons pas de conquérir, si tout autant l'assurance nous est donnée que le sous sol de cette planète répulsive ne contient aucune des matières dont nos industries sont en peine.
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