l'absentation inexpliquée

Sans vraiment m'en rendre compte, (ou plutôt sans y porter une attention exagérée (?)), force est de constater qu'aucune note n'a été posté en cet espace blogguesque ces deux, trois derniers jours. Tout exceptionnel (?) que cela puisse paraître, (l'habitude étant prise ici de prévenir des absences notiques futures), il peut être utile (ou pas) d'informer le monde internique (?) que ce " silence " n'est point du à un (toujours possible) surcroît d'activance adversique me plongeant dans un (inopiné) état de prostration totale, ni à un surcroît d'activités diverses et variées (labeuriques, partenariales, pré-cotoyantes voire même, avec un peu (beaucoup ?) d'imagination, sentimentalo-sexuelles) occupant tous les territoires temporels disponibles, (en dehors du nécessaire (et vital ?) rien quotidien). L'hypothèse que le fait de n'avoir rien de spécial à dire puisse être responsable de cette (exceptionnelle) interruption notique se trouve elle aussi démentie, n'ayant effectivement rien de spécial à dire (depuis longtemps déjà ?), ce qui ne m'empêche nullement de le répéter (quasi) quotidiennement depuis trois (3) ans déjà. Cette cinq cent quatre vingt treizième (593)note n'apporte finalement que peu d'informations éclairantes ou pertinentes, (ni même informatives, à vrai dire...), aux raisons originelles de ce (micro-)non-évenement, et ne présente peut être comme seul intérêt (ou pas) que l'apparition (malheureuse ?) du (nouveau ?) néologisme (improbable) qui se trouve stationné dans l'espace titral (?), associé à un adjectif résumant (parfaitement) de quoi il est question par ici. Cela reste, par certains côtés, (un peu) confondant.

Comments

[xiao-bob]

Cette cinq cent quatre vingt treizième possède un mérite exceptionnel, c'est d'être la seule cinq cent quatre vingt treizième que l'on verra ici, ce qui n'est pas si courant, et là je suis conscient de radoter puisque l'unique ne saurait être courant, sauf si on parle de fleuve ou de flux électrique ou de toute chose de même étoffe, expression qui latinement s'énonce "ejusdem farinae"
On aura remarqué que là où le latin parle de farine, nous qui sommes anglosaxonisés nous speackons d'étoffe.
C'est le génie de la langue, là où le latin incline avant tout à manger, les anglo-saxons, tourmentés de problèmes religieux s'inquiètent d'être couverts et de n'attenter en rien à la pudeur, alors qu'il n'est que de visiter le musée du Louvres pour voir que les anciens allaient nus comme des vers.
Absentation est un mot d'une jolie facture, j'aurais bien avancé paslàtisme, pour ne pas dire autrepartage, mais ils ont des nuances et il serait possiblement idoine de conserver les trois.