la distraction confrontante

La (mercredienne) activité natatoire ayant été annulée, et alors que je reviens d'une (fraîche) prise caféïque terrassique où les informations climatiques que j'ai pu observer laissent tout de même planer quelques ambiguïtés climato-évolutives, (le ciel est bleu, le soleil brille, mais difficile de juger de l'intensité (et puissance soufflante) du vent (froid) qui parcoure (parfois) le boulevard), m'interroge-je présentement sur l'opportunité d'un (lointain) déplacement pédalocomoteur de ma personne en direction de la médiathèque du bord de mer, où je dois ramener (encore) des cds empruntés. En même temps, n'ayant aujourd'hui rien de spécial à faire (tiens donc), me confronter aux (naturels) éléments (déchaînés ?) me distraira un peu d'autres confrontations personniques peut-être moins naturelles (?) mais parfois similairement déchaînées. Si maintenant, lors d'un passage (urbainement) ardu, une (violente) bourrasque venteuse m'envoie (malencontreusement) me confronter tactilement avec un (gros) véhicule motorisé à forte énergie cinétique, force sera de revenir sur la (toute relative) pertinence sémantique de la distraction sus-évoquée. Comme quoi...

Comments

[parentheses]

gilda: Je suis le premier à regretter ici la (patente) non-efficience de tes (pourtant généreuses et) autoritaires injonctions derechefiennes climatiquement orientées.
Mais je le répète, l'intention était généreuse.
;-)

xiao-bob: Alors que vous me voyez (virtuellement), cher ami, fort content de vous retrouver, force est de constater, non sans (très arbitraire) fierté, que récession ou pas, cela fait longtemps que je m'applique personnellement (avec un certain succès) à supprimer (ou à réduire) consciencieusement toute velléité activique, et ce quelque soit le jour...

[xiao-bob]

Bon dieu, on annule les activités du mercredi à présent.
Déjà, il y a des lustres on supprimait celles du jeudi.
Mais où s'arrétera-t-on?
Ce dit être ça la récession dont on cause.

[gilda]

J'ordonne derechef au vent (mistral ?) de se calmer. Non mais !