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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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14 mars 2009

les prémonitions week-endiques

Ce matin, rejoignant (tardivement ?) le bar terrassique en bas du boulevard je constatais deux choses, qui eurent pour effet immédiat de me contrarier un tantinet, (alors que je lutte depuis quelques jours déjà contre une (circonstancielle) aspiration (tendance ?) au maussadisme existentiel): La première, du fait de la confluence de deux éléments (le contexte matino-samedien et une situation climatique quasi-estivale), réside dans le fait que j'eus de grandes difficultés à trouver une place libre sur la terrasse (excessivement) emplie de couples, familles (ainsi que bambins et animaux de compagnie concomitants), terrasse encore jusqu'alors offrant diverses stations asseyantes et choix possibles d'orientations diverses et variées. La deuxiéme, également liée à la même (exceptionnelle ?) situation climatique ainsi qu'à mon absence (paresseuse) d'anticipation vêtementique, me trouva, outre inconfortablement installé à une table à forte promiscuité personnique (et bruyante), victime de plus d'une (difficilement supportable) chaleur conséquente du fait d'une (personnelle) tenue excessivement (chaude et) couverte. Et alors que l'excès de n'importe-quoitisme scénaristique des aventures de mon (ex ?) ami (virtuel) jack b., (lui aussi passablement maussade en début de sixième saison, et on le comprend...), laisse poindre l'éventualité possible d'un (éventuel) abandon de visionnage, (visionnage qui m'aurait peut-être permis de m'extraire d'une réalité quotidienne perceptiblement (et temporairement ?) assez décevante), force est de constater que ce week-end qui s'annonce ne le fait pas sous les meilleurs auspices. Re-force est de constater toutefois que si demain, sous un temps pluvieux, fraîchement (et légèrement) vêtu, je me retrouve stagnant sur une terrasse déserte (et froide), il n'est pas dit que j'en sois moins contrarié pour autant. C'est sans issue...
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Commentaires
M
Les effets possibles d'un week-end défiant la loi de gravitation pensétique, d'être bien, reste aléatoire selon les deux principes que vous avez énoncé; c'est dire l'issue certaine ( et non sans issue car d'issue, il y a toujours, parfois radicale, je l'admets) de tomber dans le gouffre néantique d'un moi qui ne pourrait s'accrocher à la paroi même d'une lumière d'espoir. Cependant, je vous vois considérer mes propos pessimistes qui ne tiennent la route, si et seulement si, équipés de pneus pluie. Reste que si vous n'êtes pas équipementier vous n'en n'êtes pas moins vêtu pour tenir cette fin de semaine avec une garde robe à la hauteur du temps capricieux. On peut affirmer que l'imprévu ne vous surprend pas à son tournant et la direction assistée cela vous connait.<br /> <br /> Max-Louis
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