la (faible) potentialité chaussurienne

Ce matin, j'ai passé plus de deux heures en terrasse ensoleillée (en bas du boulevard), multipliant réunion amicalo-professionnelle (prévue), échange caféïque (non prévu) avec partenaire amicalo-professionnel, et appels cell-phoniques avec divers (autres) partenaires amicalo-professionnels, en vue d'organiser de (futures) séances labeuriques sur divers projets (hypothétiques ou pas). Outre le fait que, de par ces stagnations terrassiques (ainsi que moult. déplacements pédalocomoteurs), les (belles ?) couleurs de mon visage (naturellement) halé commencent à susciter (petits) commentaires étonnés et moqueurs (du genre: bin lui, il a l'air de se la couler douce...), il peut être intéressant (ou pas) de signaler, un peu contrit, que bien ma position stratégiquement localisée en terrasse à très proche proximité de la (charmante) féminine créature au sourire radieux (déjà évoquée je ne sais où en ce lieu blogguesque) ait permis quelques brefs échanges, (cette dernière, radieuse, me complimentant sur mes (jolies ?) chaussures en simili-croco (également) déjà évoquées en ce lieu blogguesque), la multiplication des implications communicationnelles avec les partenaires amicalo-professionnels sus-évoqués n'a (dommageablement) point permis de pousser plus avant avec cette (charmante et) radieuse jeune femme que, soupirant, je regardais partir... En même temps, aurais-je eu l'opportunité de plus d'intimité avec cette radieuse créature, il est fort probable, (la loi des séries ?), que j'eus (une nouvelle fois) abouti à un (nouveau) fiasco fémino-cotoyant, n'octroyant (raisonnablement) qu'une très faible potentialité avançique à une (simple) paire de chaussures, aussi jolies et simili-crocodiliennes qu'elles puissent être. Point encore rendu, ne suis-je...

Comments

[xiao-bob]

Pour autant, s'il m'était arrivé de séduire une femme seulement pour avoir exhibé telle paire de chaussures, je me serais posé des questions.