la (continuante) perplexité turbulente (et parfois amusée)

Alors qu'il semble fort probable, au vu de la (récente) période écoulée, que la fréquence rédactionnelle de note en cet espace blogguesque se trouvasse (?) passablement réduite durant la même période (en cours), du fait principal d'un (très surprenant et) exceptionnel surcroît activique, il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici que je me trouve toujours baigné (immergé ?) dans une (un peu étrange mais pas si désagréable) perplexité globale quant à la façon dont tout cela s'organise (?). Un concours de circonstances agendataire multiplie ainsi (exagérément) les diverses séances labeuriques sur de divers projets hypothétiques (ou pas), aux réalisations futures temporellement entremêlées, à quoi s'ajoutent les diverses démarches (administratives) et oeuvrances thérapeutiques consécutives à mon accident de la circulation (cf. notes antérieures), la continuation (pénible et) contraignante du protocole socio-administratif en vue d'obtenir quelques subsides étatiques, et la découverte (inopinée et un tantinet) contrariante d'une fuite d'eau en mon intérieur domestique impliquant rationnement aqueux en l'attente salvatrice du spécialiste plombier prévue aux premières heures du proche lundi arrivant. De plus, l'opportunité (confirmée) d'un déplacement extra-européen (fin juin) de ma personne, en vue de (nouvelles) réalisations d'un (ancien) projet non hypothétique en partenariat amicalo-professionnel, en un endroit fort lointain de mon intérieur domestique mais (relativement) proche de celui d'un bon ami, m'amène à ainsi envisager une (courte ? moyenne ? longue ?) escapade vacancière, qu'il me faut aussi (prestement) organiser. Considérant tout cela (la très très exceptionnelle augmentation activique), force est de constater que la (très) relative ouverture fémino-cotoyante entrevue cette semaine, (une charmante jeune créature partageant exceptionnellement mon lit, dans de troubles quoique délicates conditions), bien que n'ayant point encore connue de développement(s) probant(s) à ce jour, (pour autant qu'elle en connaisse un jour prochain...), participe activement, quoique dans une certaine mesure, au même processus perplexisant énoncée en première phrase introductionnelle de cette (présente) note. Ayant (hasardeusement) acquis il y a peu un (petit) livre (d'intérêt moyen) de citations (?) humouristiquement anglo-saxonne, il peut être toutefois intéressant (ou pas) de signaler que deux citations glanées dans cet ouvrage accompagnent sensiblement (et très particulièrement) ces (étranges) jours d'activité turbulente, perpétuant en mon intérieur interne un amusement (et une joie) sans cesse renouvelé(es). Et une fois n'est pas coutume, je ne résiste pas à l'envie de les introduire ici, pour (vainement ?) agrémenter de légèreté (drolatique) la (relative) aridité de cette (présente) note informative et point-situationnelle. La première: " Pour chaque problème compliqué, il y a une réponse simple, claire et fausse. " La deuxiéme: " Quant mon heure sera venue, je veux mourir dans le calme et la dignité, comme mon père, et surtout pas en criant et en hurlant comme ses passagers. " " Hahaha " s'esclaffe-t-il intérieurement, avant de remercier le monde internique de son attention, (mais sans se rendre à l'endroit cuisinique pour boire un verre d'eau, car il a précautionneusement coupé l'alimentation aqueuse globale de l'intérieur domestique...).