24 avril 2009
climatologie ensoleillée (quoiqu'embrouillée)
Alors que l'agitation turbulente des événements de cette (présente et) turbulente période semble s'accroître incroyablement, (d'où un léger tournis, mais toujours sensiblement distancé), raison principale de la non-postance hieresque, force est de constater que je ne sais plus vraiment où donner de la tête, entre la poursuite (anarchique et frontalement simultanée) de divers projets hypothétiques (ou pas) aux réalisations imminentes, et le suivi tout aussi anarchique de complexes démarches administratives et entrelacées consécutives à l'accident de circulation dont je fus victime (miraculeusement survivante ?) il y a quinze jours (cf. notes précédentes) dont la gestion thérapeutique et marchande est également fort complexifiante, (en bref, un important devis de rénovation dentaire qui serait à même (?) d'être pris en charge par mon assureur (en ce moment en congé), ou alors pris en charge socialement par mon (bientôt) nouveau statut de rmiste (et la cmu concomitante), dont le dossier fort embrouillé accuse un sérieux retard...), complexifiance à l'image de cette (présente et embrouillée) phrase introductionnelle.
Pour celle(s) et ceux qui suivent (?), il peut être toutefois intéressant de signaler ici qu'avant hier, bien que me rendant à l'endroit barresque où je craignais rencontrer une certaine féminine personne et espérais retrouver la charmante (plantureuse et) parfumée créature (cf. note précédente), je ne retrouvais ni l'une (heureusement) ni l'autre (dommage !), me contentant d'échanger considérations diverses et variées sur la marche chaotique du monde et de nos existences parfois confuses, (ainsi que verres d'une rouge boisson à fort tanin) avec de sympathiques partenaires amicalo-professionnels.
Je n'envoyais donc point de message textuel cell-phonique (qui selon toute vraisemblance n'aurait point eu de réponse), remettant (allègrement) à demain l'opportunité d'un nouveau (et prévisible) fiasco fémino-cotoyant.
Ou sinon aujourd'hui, il fait beau, et il commence à faire (assez) chaud...
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