l'activisme extrême (et le non-activisme côtoyant)

Alors que rentré (tardivement) dimanche soir d'une translation géographique de ma personne en un lieu distant et rural (où m'attendant à trouver une campagne colorée et fleurie, phénomène communément printanier, je passais toutefois ce week-end labeurique sous un ciel gris et pluvieux dans un milieu certes très vert, mais peu florissant...), après deux (2) réalisations difficultueuses (mais fort correctement négociées, (une chance ?)) d'un (ancien) projet non hypothétique en partenariat amicalo-professionnel, courtes et concentrées réalisations nous laissant, mon partenaire et moi-même, de (très) longues plages d'oisiveté (longues siestes hôtelières, déambulations ennuyées dans une ruralité passablement dévastée et stagnations terrassiques sous grands " auvents " toilesques pluvio-protecteurs...), alors que rentré dimanche soir donc (constatant de surcroît l'abrupte nécessité d'un (futur ?) nettoyage maisonnique) force est de constater que le (toujours) patent (toujours exceptionnel ?) surcroît activique n'a point permis la rédaction d'une note hier, du fait de la multiplication exponentielle d'affairements divers et variés (tâches kafkaïquement administratives (moult. documents moult. fois photocopiés envoyés à moult. diverses et variées institutions, moult. fois demandantes de documents déjà envoyés, mais dans des services voisins mais visiblement piètrement communicants), séances labeuriques sur projets non hypothétiques à réalisation(s) imminente(s) à quoi se sont adjoints quelques (nouvelles) péripéties inondatoires et autre (vague) maintenance de matériel dysfonctionnant). Il peut être toutefois intéressant (ou pas) de signaler ici l'absence totale (ces derniers jours) d'événements d'orientation fémino-créaturienne côtoyante, ceci expliquant peut-être (quoiqu'en fait très peu) cela, tout en reconnaissant, un tantinet contrit, que cela (l'hypothétique cotoyance créaturienne) serait probablement à même de rendre ceci (la surcharge activique) singulièrement moins oppressif. On n'est (toujours) pas rendu...

Comments

[parentheses]

monsieur: En même temps, s'ils (?) font comme moi quand je fais rien de spécial, c'est pas dit qu'ils tomberaient malades pour autant.
xiao-bob: Je suis tout à fait d'accord. Suivre le dogme en son temps m'aurait évité, à n'en point douter, toutes ces retardataires tracasseries documentisées. En passant, il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici la totale conformité de cet espace blogguesque (" qui rend compte de la (quasi) totalité de nos (mes) azimuts et déplacements divers ") avec le transparatorium sus évoqué, (avec toutefois une réserve (passagère ?) quant à la (réelle) efficience d'une (hypothétique) facilité accrue (et actuelle) dans le domaine côtoyant).
La route est longue, et les grincheux nombreux. (Ou pas).

[xiao-bob]

Une bonne fois pour toutes, il serait bon que chacun se rende conscient du dogme mainte fois prêché: Il faut envoyer systématiquement tous les documents dont on dispose à toutes les administrations et tous les organismes, privé, publics, semi privé, confessionnels et autres et ceci même en l'absence de tout lien actuel avec les dites entités.
J'aurais tendance à préconiser que chaque citoyen ouvre un espace informatisé consultable à loisir par quiconque, qui pourrait se nommer le transparatorium, lieu qu'il serait aisé de coupler avec la puce sous cutannée qui rendrait justement compte de la totalité de nos azimuts et déplacements divers.
Il n'est aucun domaine de notre vie qui ne s'en trouverait facilité, et pas même les relations cotoyantes qui pourraient être organisées beaucoup plus simplement par une sorte de service municipal copulatoire, recensant les offres et les demandes et gérant les rencontres souhaitables, dont les bienfaits sur le moral des populations seraient incontestables.
Il y aura des grincheux pour médire d'un tel projet, mais que voulez vous on ne réforme pas l'homme facilement.

[monsieur]

Heureusement que tout le monde n'a pas une vie aussi intéressante que la tienne. Ils en mouraient.