Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
Publicité
Archives
30 août 2009

la rentrée déliquescente

 

Alors que cette semaine quelques notes (ou ébauches de) ont été rédigées (et non postées par inertie non-postante), notes dans lesquelles je m'interrogeais sur mon (actuelle) attitude sereine et (trop ?) détachée, (tout de même un tantinet étonnante pour qui (?) envisagerait (surprenamment) de la confronter au rapport qu'entretiennent la (fort réduite et hypothétique) liste des (hypothétiques) satisfactions actuelles (qui plus est, multi-thématiques) et celle (singulièrement plus longue et) conséquente des motifs de préoccupations (similairement multi-thématiques), force est de constater qu'au vu de cette dernière semaine aoûtienne, je risque de rencontrer quelques difficultés à maintenir une telle attitude lors de cette " rentrée " qui s'annonce à forte teneur adversique.

Ainsi, loin de progressivement s'améliorer, j'ai pu constater la (progressive itou) déliquescence globale de mon univers quotidien déjà singulièrement dépouillé.

Confronté à une situation financière déjà singulièrement difficultueuse (pour je ne sais quelle mystérieuse raison (le grand complot ?) les subsides (étatiques ? régionales ? départementales ?) ne m'allouant que (?) deux cent (200) euros mensuels (m'obligeant à un recours gourmand autant que survivant à mon fond d'économies qui à ce rythme risque de se retrouver très prochainement à sec)), les (éprouvantes et) différentes tentatives de réparation de mon système informatique (grandement dysfonctionnant) ont jusqu'à présent totalement échouées (jusqu'à même une impossibilité totale de reformater (rebooter) tout le système !) laissant ainsi clairement se profiler à l'horizon proche l'avis de décès patent du système, impliquant dans un (plus court encore) futur l'acquisition d'un nouveau système, acquisition nécessitant un apport financier dont l'(hypothétique) origine est à l'heure actuelle encore bien floue (emprunt voire recours à de délictueuses pratiques (vols ? enlèvements de personnalités célèbres (ou pas) ? chantages ? etc.)).

De plus, un projet hypothétique naissant en ce mois d'août désertifié s'est vu cette semaine, au vu de sa non-avancée pratique et patente (bien qu'étonnante du fait d'une tout de même assez bonne motivation des partenaires amicalo-professionel(le)s concerné(e)s) présenter l'aspect (dommageable) d'un nouveau-né quasi-mourant, voire résolument non viable, la conjoncture actuelle et future ne présentant par ailleurs que quelques très très rares opportunités projectales non hypothétiques.

Autre élément (un tantinet) perturbant, alors que j'envisageais une coupe capillaire chez mon praticien usuel (depuis plusieurs années déjà), je constatais sa disparition soudaine et apprenais de la bouche de son nouveau (et inconnu) remplaçant son départ à la retraite, sans avoir visiblement prévenu quiconque (et en tout cas pas moi, m'ayant même souhaité, avant son départ en vacances fin juillet, un bon mois d'août (?) et la garantie de se retrouver (?) à la rentrée).

En titre de conclusion de cette (présente) note situationnelle, il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici quelques points tout de même positifs de cette adversique rentrée: en premier lieu, il commence à faire moins chaud (ceci annonçant les prochains grands froids ainsi qu'un hiver rigoureux ?). Et point n'ai-je subi cet été le moindre fiasco fémino-cotoyant, (me sentant tout de même obligé d'honnétement envisager, un peu contrit, que cet absence d'échec est principalement du à l'absence totale de tentative fémino-cotoyante...).

Il peut être de surcroît intéressant (ou pas) de rajouter ici que du fait de mon (encore effective, mais pour combien de temps ?) attitude sereine et (sagement) détachée, il m'arrive (parfois) de considérer (existentiellement) cette période comme une (nécessaire ?) phase de transition qui me permettra, après un parcours initiatique (encore un peu flou et) à la durée non déterminée, d'aborder enfin de satisfaisants rivages lagonneux, où sur le sable fin affleurant les vertes pinèdes bord-de-meriques (?), je pourrais m'ébattre ludiquement sous le soleil et dans les vagues (?), bondissant dans l'écume comme un petit mammifère à la queue chatoyante (ou pas), tout de même paradoxalement translaté dans un univers singulièrement différent de son cadre habituel (plutôt communément verts-paturagique...).

Tout cela reste, par certains des côtés, un peu confondant.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
G
Zut alors je ne suis pas encore assez célèbre pour que mon éventuel enlèvement puisse être profitable. <br /> <br /> J'aime beaucoup l'absence d'échec dû à l'absence de cotoyance, pas le fait lui-même bien sûr, mais la façon dont tu l'écris. Et je me rends compte que je suis dans une drôle (1) de situation à la fois très fiascoïsante et très pas. Je n'y comprends rien et passe des moments à me demander : je suis si moche que ça ?<br /> <br /> 200 ? Il serait temps que des hypothétiques se déshypothétisent.<br /> <br /> (1) bizarre, étrange, déstabilisante, mais un brin cocasse à la fois.
Publicité