le (premier) coup dans l'eau

Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici qu'après avoir peaufiné (?) mon premier (expérimental ?) dossier de candidature (principalement en refaisant des photos d'identité singulièrement plus souriantes que celles demandées pour l'obtention du passeport, sérieuses et un peu trop strictes pour vraiment dégager l'allure affable qui sied aux relations publiquement relationnelles), je le portais ce matin au lieu marchandique, encore embauchant le vendredi 31 décembre de l'ancienne année (cf. si besoin les notes précédentes).

Malencontreusement l'anciennement bourru patron (il l'était un peu moins aujourd'hui) m'informa que la place était déjà prise (plusieurs candidatures avaient déjà été déposées précédemment), ce qui eut pour effet de confirmer la patente difficulté (ainsi que délicat et désolé paysage) des perspectives professionnelles, puisque j'avais déjà failli, en décembre dernier, dégotté un (petit) boulot de deux à trois jours (non déclarés) consistant à emballer circonstanciellement des chocolats dans des boites cadeauïques (!), mais que les deux ou trois places disponibles avaient été occupées en un temps record (!).

Je laissais toutefois le dossier, (au cas où...), regrettant un tantinet de ne pas avoir l'occasion (réelle) de tester ma première (et expérimentale ?) lettre de motivation qui, de l'avis d'amis et partenaires amicalo-professionnels en prise caféïque ce matin, bien qu'un tantinet particulière (et pas qu'à cause des parenthèses), n'en était pas moins singulièrement pertinente, voire même efficace...

Ayant dans ce cas précis répondu à une offre embauchante clairement signalée, et à défaut de plan B (?), la prochaine étape de cette (prévisiblement laborieuse) recherche labeurique va probablement me conduire à découvrir les (encore) inconnues (de ma personne) agences d'intérim qui semblent, à divers niveaux (fluidité des plannings activiques et rémunérations un tantinet accrues par primes de précarité), peut-être un peu plus adaptées à ma situation.

Et alors que jusqu'à présent seule la réalité (et conjoncture) salariale actuelle semble responsable de ce (premier) revers, force est de constater que si l'adversité taquine et retorse s'en mêle, le chemin risque de se révéler plutôt long.

" On n'est pas rendu... " dit celui qui écrit ce blog avant de se rendre dans le lieu cuisinique absorber le contenu aqueux d'un contenant verrique, ( " avant qu'on ne lui coupe la distribution aqueuse " rajoute-t-il avec une très excessive (et fortement disproportionnée) exagération).