l'happy end vs le maussade beginning
Si l'on considère:
- Que Cius Julius Caesar (l'imperator) vient de se faire (politiquement autant que littéralement) assassiner aux portes du sénat, moult. fois poignardé par de nombreux assaillants, ceci ayant pour effet dommageable de singulièrement tâcher sa blanche (et cela dit, déjà rougement agrémentée) tunique.
- Qu'il reste trois cent soixante (360) jours avant la nouvelle année (!).
- Que l'on est déjà (!) mercredi.
Et que ces (précédentes) informations (?) constituent les plus pertinentes (!) de cette maussade (voire résolument lugubre) journée, force est de constater qu'elle s'est donc déroulée dans un vide désertique et néantifié relativement considérable.
Et seule la dernière image de Titus Pullo (vaillant et performant légionnaire ayant à plusieurs reprises échappé à une mort (souvent violente et) quasi-incontournable) s'en allant dans l'horizon natureux, main dans la main avec la (charmante) Eirene (ce qui n'était pas gagné puisque cette ancienne esclave par ses soins affranchie, avait (assez logiquement) développé une farouche haine à son encontre, pour avoir sauvagement anéanti son amoureux prétendant lui aussi esclave en voie d'affranchissement...), seule cette dernière romanesque vision donc serait à même de rehausser un peu cette (un tantinet) pathétique journée.
Toutefois, au vu de la désertification patente de fémino-côtoyance en ce début d'année, force est (de nouveau) de constater que cela ne risque pas m'arriver de si tôt, ceci réduisant singulièrement l'hypothétique rehaussement précédemment évoqué.
On n'est pas rendu...