les (deux) surprises du jour

Assez surprenament, aujourd'hui, alors que je me suis rendu en un endroit extra-muros ainsi que bord-de-merique, je fus surpris de ne pas trouver la masse personnique (que j'avais pourtant ce matin) éronémement prévisiblisée. Je fus également surpris de trouver, en pleine remontance (escalierale ?) vers mon intérieur domestique, trois contenants de deux types (une enveloppe, et deux contenants plastiques et transparents, sans couvercle), déposés sur les marches, avec une (petite) note (" cadeaux de votre voisine ") à mon intention (et à mon nom).

Le même (petit) monticule-contenant se trouvait en divers hauteurs escaliéres: deux au rez-de chaussée, un au deuxième étage, et un autre (le mien, pré-cité) au troisième étage, (le premier étage se trouvant être l'habitat de la voisine offrante, une (très) vieille dame, vive et gentille). Donc égalitairement multiplié par le nombre d'habitants immeubliques. Quatre identiques groupes de contenants, chacun le sien. (?).

Dans l'enveloppe papier, des " friandises " (?) au chocolat noir. Dans un contenant plastique, des petits gâteaux à croquer (croquets ? navettes ?), et dans l'autre, des brugnons. (?).

Monde (aussi mystérieux que) fascinant.

Comments

[parentheses]

xiao-bob: Quelques (pertinents) indices nous avaient déjà permis de l'envisager...
;-)
Anonyme: Quelques notes (mais où ça ?) dans cet espace blogguesque ont déjà évoqué cette " petite dame du premier " (qui, entre autre, reçoit une masse considérable de courrier, principalement commercial), à laquelle il m'est arrivé de rendre quelques (petits et naturels) services. Mais rien toutefois susceptible d'expliquer cette (tout de même fort) mystérieuse distribution collective...

[Anonyme]

Et si c'était testamentaire ?
Pourquoi la simple et jolie humanité serait-elle devenue si mystérieuse et fascinante?
Elle mériterait vraiment d'être davantage portraitisée cette petite dame du 1er dont on ne sait rien à part qu'elle pourrait être cette voisine que l'on a tous croisée un jour sans lui accorder plus d'importance qu'un simple regard assorti d'un bonjour à peine audible et encore... quand le bipède est de bonne humeur au croisement!
Aujourd'hui elle aura droit aux salutations d'un promeneur anonyme qui ne bénéficie de sa belle présence qu'au détour d'une hasardeuse lecture.
Merci d'avoir parlé d'elle de cette manière étonnée qui m'étonne à mon tour.

[xiao-bob]

Une mère Noëlle en août, décidément ce monde est détraqué.