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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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30 septembre 2006

la (confuse) situation projectale

Ce matin j'ai pris un café avec un partenaire amicalo-professionnel avec lequel j'ai réalisé dans le passé quelques projets non hypothétiques, et (vaguement) envisagé (dans le passé itou) quelques projets hypothétiques (abandonnés ou en suspens, cette imprécision étant, (entre autre, mais pas que), un des paramètres incontournables de ces projets dits hypothétiques). Les dernières conjonctures et circonstances situationnelles laissant envisager ma (nouvelle) participation future à un (nouveau) projet non hypothétique dans lequel ce partenaire est d'ors et déjà engagé, je lui ai fait part de ce nouvel élément (ma participation donc), ce qui a eu l'air de le satisfaire, et porté probablement par la douce tiédeur de ce samedi matin terrassique, aussitôt m'a-t-il demandé si je participais également à un autre nouveau projet non hypothétique (plus important), assez intimement lié, semble-t-il, quoique de nature fort différente, au (précédent) projet annoncé en introduction de cette phrase à la syntaxe délicate mais à laquelle, assez incroyablement confiant, je décide toutefois (et bien temerairement) d'adjoindre une nouvelle proposition tant narrative que signifiante, en ce sens que je lui répondis que je n'avais, à l'heure actuelle, pas encore vraiment envisagé la possibilité de participer à ce nouveau projet non hypothétique (et singulièrement plus important que celui auquel je suppute participer). Force est de constater que, dés l'introduction de cette présente note, une attitude sensément prudente, voire méfiante, aurait permis (peut-être) d'éviter ce qui s'avère se révéler un (nouveau) fiasco sémantique, quoique me relisant calmement et privilégiant pour cet exercice la respiration ventrale, j'arrive tout de même (un peu) à comprendre ce que j'ai voulu dire ici. Mais force est de reconnaître humblement que ce n'est peut-être pas le cas pour tout le monde, en tout cas pour toutes les personnes qui ne sont pas moi. Je ne peux que faire part ici de ma sincère desolance, ne pouvant toutefois, en toute honnêteté, garantir que cela (mais quoi donc ???) ne se reproduira plus. Que puis-je dire (ou écrire de plus) ? Une nouvelle fois, probablement rien. Dont acte.
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Si j'en juge par des expériences que je tente en d'autres régions bloguesques, se comprendre soi même me parait déjà être sur la voie qui même en direction d'une certaine forme de satisfaction personnelle.<br /> Vouloir être compris des autres, à l'inverse, nous conduit dans les régions incertaines de l'utopie, dès lors que l'on avance toute proposition d'un niveau logique suffisamment éloigné de la somme que peuvent faire deux et deux (à titre d'exemple)<br /> Montaigne lui même disait que ce n'était pas lui qui perdait son propos mais l'indiligent lecteur (j'ai un vague soupçon d'avoir déjà utilisé cette citation) (ou bien j'ai pensé pouvoir le faire)
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