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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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15 octobre 2006

le (douteux) rebondissement situationnel

Contre toute attente, et malgré ce que j'avais précédemment supputé des conditions hébergeantes de ce déplacement séjournique en milieu extérieur et lointain, il semblerait qu'une continuation, certes contextuellement épisodique, de rédaction notique soit quelque chose en passe d'être réalisé puisque, sans pourtant aucune logistique mise en place au préalable, je sois en train présentement de préparer une (première) note itinérante sur un élément informatique fonctionnel, malheureusement aucunement relié au réseau internique, mais avec lequel, grâce à une (astucieuse ?) clé usb embarquée à tout hasard (?) dans mon bagage déplaçant, je vais pouvoir, dans le cas où folâtrant (?) dans la cité lyonnaise, et dénichant un web-café, je pourrais, non pas prendre un café, (que je prévois de prendre bien avant une éventuelle déambulation, dans un bar à un certain endroit (non encore défini) d'un boulevard, d'une rue, voire d'une avenue similairement non encore définie), je pourrais donc, reprend-je, transférer cette (excessivement embrouillée) note sur un appareil informatique mis à ma disposition en échange d'une modeste transaction financière.

Considérer maintenant, au vu de cette première (longue) phrase que tout cela est plutôt une bonne chose, serait faire la preuve d'une représentation du monde tout de même singulièrement distordue. Et encore, je ne suis pas vraiment sûr de bien comprendre ce que j'entende vraiment par là...

fascinant.

(samedi 14 octobre 2006)

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Commentaires
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Au risque évident de paraître un adepte de la contradictionite systèmatoire, je trouve ces périodes locutoires empruntes de limpidité.<br /> Je ne sais si dans mon prochain périple vers Saint Louis du Sénégal je pourrai appliquer une telle méthode.<br /> Si ce n'était possible, ou souhaitable selon le feeling du lieu,il en résulterait de ma part un silence de trois semaines.
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