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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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30 octobre 2006

le charme pharmaceutique

Ce matin, pour de confuses, embrouillées (et donc incompréhensibles) raisons, je suis retourné trois fois de suite à la pharmacie en bas du boulevard afin de régulariser une situation (logiquement et/ou syntaxiquement et/ou similairement) confuse, embrouillée (et donc incompréhensible)(?). Passant rapidement sur le fond thématique de cette (anecdotique) non-aventure pharmaceutique - des factures non réglées car des remboursements non remboursés du fait d'incohérences chronologiques dans le cadre du traitement complexe et servicepubliquien du (malencontreux) incident cardiovasculaire que j'eus la (désagréable) opportunité d'expérimenter il y a quelques mois - il peut être intéressant de remarquer incidemment que deux des trois échanges communicationnels occasionnés par la (lente et laborieuse) résolution de ce (sécuritésocialement) micro-évenement le furent avec une (charmante) pharmacienne, en charge, (malencontreusement pour elle ?), de mon dossier (présentement) confus donc. La situation révélant progressivement incohérences (informatiques ? fonctionnariales ?) et aberrations (informatiques ? fonctionnariales ? ou tout bonnement existentielles ?), force est de constater, contre toute attente, que la conversation rapidement devint plus détendue, la pharmacienne et moi nous laissant progressivement aller à quelques réflexions désabusées et ironiques, voire quelques dérives (légèrement autant que sympathiquement) aguicheuses ( "je vais nous chercher des sandwichs ? " ). Au terme de cette (agréablement détournée) confrontation avec la (en voie de charmantisation croissante) pharmacienne, une procédure opérationnelle a finalement été mise en place pour un règlement (définitif ?) de cet imbroglio (remboursif ?). A mon grand dam, je ne peux que constater présentement que la prochaine phase de cette (insignifiante et minuscule) épopée consistant en une visite dans une (obscure ?) annexe de cette grande entité bureaucratique et hautement fonctionnalisée, communément connue sous le sobriquet de " Lasséku ", ne laisse point augurer de moments cotoyïquement relationnels identiquement agréables. Sauf, bien évidemment, dans le cas où un hasard (pour une fois bienfaiteur, ou pour le moins peu retors) me mettrait en contact avec une charmante, enjouée et malicieusement taquine et féminine créature servicepublicienne. Sait-on jamais ?
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