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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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10 décembre 2006

les jeux de maux (de tête)

Hier soir (l'après-midi ayant (déjà) fait l'objet d'une précédente (éclairée ?) note, ce qui ne veut pas dire qu'il n'eut point été impossible que j'y revienne, pour une raison ou pour une autre, ce qui n'est pas le cas présentement, regrettant (déjà) de m'être aussi facilement laissé entraîné par cette première insidieuse parenthèse, seule une (légère) fatigue (justement consécutive à cette pré-annnoncée soirée à la narration non encore entamée, (pour autant qu'elle le soit réellement un jour, ce qui n'est pas dit), étant responsable de ce prévisible et introductionnel fiasco narratif), hier soir donc, reprenant courageusement le fil de ma pensée (confuse) j'ai déambulé nocturnement, dans un premier temps amicalo-professionnello-partenairement accompagné puis, du fait de la rejoignance d'une charmante jeune femme de (très) proche parenté avec le partenaire amicalo-professionnel accompagnant évoqué dans le premier temps (et accessoirement également présent dans la note (toujours précédente) mais relative elle au déroulement aprés-midial), notre duel équipage s'est retrouvé triel (?). Bien conscient, à la relecture de la phrase (?) précédente, de la (toute relative) complexité syntaxique pouvant (éventuellement) nuire à la clarté narrative, je me permets ici un interne résumé clarifiant: hier soir, j'ai fait ce que l'on appelle communément une tournée des bars, accompagné d'un partenaire amicalo-professionnel et rejoint par la suite (et) par sa soeur (s'avérant être la charmante personne précédemment évoquée). Ensemble, au gré de nos pérégrinations nocturnement urbaines autant que barresques, nous avons (agréablement) échangé considérations diverses et variées sur (comme toujours...) la marche (relative) du monde, et d'autres choses dans le genre (?). Etant doté moi-même (génétiquement, familialement et agréablement) d'une soeur (assez) lointainement localisée, force est de constater accessoirement (et avec une croissante perplexité personnelle par rapport à la phrase que je suis présentement en train de rédiger, vous allez rapidement comprendre pourquoi...) que lors de cette (agréable donc) soirée, le partenaire amicalo-professionnel (déjà de très (trop ?) nombreuses fois évoqués dans cette (présente) note) était donc accompagné de sa soeur alors que moi, la mienne (de soeur) étant lointainement localisée (comme il est dit plus haut), j'étais là sans soeur (" l'ascenseur "). Voilà, pour une raison que je n'arrive présentement pas à réellement m'expliquer, il me semblait important (?) de placer ici le calembour (très moyen) se trouvant en fin de phrase précédente et qui, malgré ma perplexité croissante, me répètes-je et sa (très) moyenne qualité, me fait quand même bien sourire. Ce qui n'est pas rien, en ces temps passablement ombrageux (métaphoriquement parlant, car je ne peux que constater la dégageance extrême du ciel de ce dimanche matin, qui part sur les chapeaux de roues (" poil au houx ! " terminant ainsi (comique-troupièrement) cette (étonnante) note par une allusion aux (traditionnelles ?) fêtes qui arrivent elles aussi à grand pas...) Fascinant.
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Commentaires
P
louise: le " un peu " reste appréciable...<br /> xiao-bob: Force est de constater qu'il m'a fallu effectuer quelques (rapides) recherches interniques pour découvrir Roux-Combaluzier (bien que le nom me dise quand même un peu quelque chose), étant plutôt habitué (virtuellement parlant car principalement monteur pédestre de marches) à Otis. Du coup, bien que pour d'autres raisons (perpétuellement ?) plongé similairement dans un océan de perplexité, je n'ai pu réellement m'interroger sur les liens familiaux liant Otis à lui-même, (voire à Redding, s'il l'on reste dans un esprit " soul "...)<br /> (En passant me revient à l'esprit le sketch (savoureux) du défunt Desproges sur la promiscuité voisinale en ascenseur ascensionnel...)<br /> mitsu: rendre l'ascenseur à ma soeur ? Encore eut-il fallu que je l'eusse pris... (l'eusse-pris d'escaliers ?... ouhla, je pense que je vais aller m'allonger quelques instants...)
M
Si la tienne est aussi charmante (de soeur) il faudra le lui rendre (l'ascenseur).
X
Cette note me replonge dans l'océan de perplexité qui était le mien, lorsque je m'interrogeais sur les liens (possiblement familiaux) qui unissaient Roux à Combalusier, les ascenseurs ayant de tous temps été propices à l'élévation de la pensée.
L
un optimiste rit pour oublier un pessimiste oublie de rire tu me semble un peu optimiste en ce jour
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