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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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19 décembre 2006

la responsabilité universelle

Poursuivant ce matin ma quête administro-avançatoire (cf. notes précédentes), et bravant (courageusement ?) le climat singulièrement rafraîchi de saison (ainsi que d'horaire fort matinal), je me suis rendu (pédestrement, croisant sur le chemin une multitude de charmantes créatures se dirigeant (similairement pédestrement) vers leurs activités salariales (ou pas) et constatant une nouvelle fois l'étonnante profusion (donc) de créatures féminines déambulant dans les rues tôtement, mais c'est une autre histoire...) en l'endroit bureaucratique service-publiquien où, avec un (sympathique) employé (à la sécurité de l'emploi garantie, selon toute vraisemblance), nous nous sommes (re-)plongés dans les méandres nébuleuses de mon dossier (confus). Et alors qu'hier, après plongeon similaire, (quoique cette fois téléphoniquement accompagné d'une personne féminine) dans un autre (quoique très voisin) territoire méandreux de mon dossier (décidément confus), une longue analyse reflexionnelle a établi la responsabilité de l'entité sécuritairement sociale, (dans l'antre de laquelle je me trouvais ce matin), de nouveaux rebondissements (papiériques) ont cette fois mis en évidence la responsabilité préalable d'un spécialiste (médical et hospitalier) lors d'un remplissage administro-papiérique réalisé avec une légèreté, un détachement et une liberté toute poétique, à moins qu'il ne s'agisse plus simplement (?) d'un je m'en foutisme taquin. Ceci impliquant donc un retard certes conséquent mais quand même virtuellement riche d'une résolution possible. Il peut être intéressant (ou pas) de remarquer en passant l'aptitude (naturelle ?) des institutions (et des êtres humains ?) mises en cause à décliner sur d'autres institutions (ou d'autres êtres humains) la responsabilité de négligences, sommes toutes assez mineures mais qui, en cascade, en arrivent à pousser à bout des gens comme moi, d'un naturel plutôt calme, (quoique par certain côté similairement irresponsable). Une fois de plus donc, la confondance me saisit, me laissant (un peu) contrit, les bras ballants mais constatant toutefois l'agréable disparition du " vomitic-syndrom " (mais pas du mal de gorge, patient il me faut être) et la (lointaine certes) perspective d'une (future) évolution (enfin) favorable de mon dossier, je me dis que je ne m'en sors pas trop mal, sauf si bien évidemment me rendant (toujours pédestrement) à ma consultation (nécessaire ?) avec le spécialiste des choses de la tête, le conducteur d'un engin motorisé conséquent et semi-remorquique (?), distrait par le passage (pourtant aprés-midial) d'une charmante créature, fait fi de la signalétique code-de-la-routienne et grille le feu rouge signalant pour moi la possibilité traversante (et asphaltique), action qui en deviendrait par là-même fort dommageable du fait de la confrontation (violente) de mon corps (malheureusement dépourvu d'exo-squelette) avec le véhicule poids-lourd sus-mentionné.
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Commentaires
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Un aplatissage asphalteux, voilà qui a de la gueule quand c'est bien réalisé.<br /> Les plus belles réussites parviennent à rivaliser avec les peintures de Dubuffet dans la série "corps de dames"<br /> Une façon comme une autre de donner de la valeur à son petit soi, qui a le désavantage de vous priver d'en jouir d'un même roulement (de semi-remorque)
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