la disparition (temporaire) du temps libre

Aujourd'hui, parti tôt, rentré tard. Toute une journée labeurique avec (très) anciens partenaires amicalo-professionnels sur un projet (anciennement) non hypothétique puis clos puis (nouvellement) hypothétique, juste entrecoupée d'une déambulation extra-urbaine mais intra-zone commerciale, ainsi qu'un (agréable) repas cantinier dans un bar restaurant de quartier lointainement localisé par rapport à mon territoire usuel. Et demain cela recommence, tôtement, d'où la forme (relativement) elliptique de la présente note narrative, du fait: 1. d'une relative fatigue (labeurio-concommittante); 2. d'un temps rédactionnel limité, une (rapide) collation dînatoire suivi d'un rapide (itou) couchage et endormissement étant le programme que je m'apprête à suivre à la lettre, juste après l'apposition d'un point syntaxique terminal préalable au postage internique de cette présente note. Dont acte.

Comments

[xiao-bob]

Se faire dérober du temps libre reste un des larcins les plus agréables qui soient.
Peut être faut-il aller, sans son nez*, déclarer ce vol au commissariat, les statistiques de la délinquance doivent rester à jour.

* néanmoins