le (maugréant) rapport de santé

Cette nuit (encore), j'ai (assez) bien dormi, malgré la douleur intermittente, (directement liée à la position sommeillique), de ma côte fêlée. La couronne dentaire infortunément chue (?) de ma bouche a été hier remise (recollée ?) par l'aimable praticien dentaire consulté hier. Et il semblerait, le temps d'incubation étant passé, (quel est-il exactement ?), que j'ai (finalement) échappé à l'épidémie de gastro-entérite ayant fait des ravages en ce lieu forestier et campagnard où j'étais encore il y a peu (cf. note précédente). Force est de constater que ce n'est pas pour autant que je suis de bonne humeur. Comme quoi...

Comments

[gilda]

pardon ! XiaO-bob
(j'ai les accents mais ça ne suffit pas !)

[gilda]

Comme quoi les congés de cow-boy ou vacances de vacher ne sont pas sans dangers (dents, côtes, risques de contagion). Xia-bob a bien raison : la (piètre, j'en conviens) consolation consiste à se dire que c'eût pu être pire.

Bon courage pour la fêlure de côte, c'est le genre de truc pas grave mais gênant et qui met longtemps à se laisser oublier. Cela dit, ça peut être temporairement consolatoire de non-cotoyance dormesque voire plus si affinité, car pour avoir souffert un temps d'un mal identique et ne vivant pas seule, j'ai des souvenirs cuisants de réveils en douleurs et sursauts dû à un mouvement anodin et léger du compagnon, mais qui avait eu le malheur d'effleurer la zone fêlurée.

(décidément c'était un commentaire : on se console comme on peut avec ce qu'on a).

[xiao-bob]

difficile de croire qu'avec une gastro ce serait alle (sans accent que c'est moche) mieux