l'harmonie (perdue) du monde (pas retrouvée)

Prés de quarante-huit heures après l'arrivée inopinée d'informations contrariantes, (cf. note hiéresque), résolument thématiquement localisées dans une (métaphorique) sphère de réalisations conjointes (et synchrones, d'où le capital problématique de toute cette histoire (?)) de projets distincts non-hypothétiques en partenariat avec deux (2) équipes amicalo-professionnelles (similairement) distinctes, je me dois de reconnaître honnêtement que je ne suis pas mécontent de retrouver mon intérieur domestique en ce vendredi finissant, après deux (2) journées labeuriques consacrées à la réalisation future d'un des projets précédemment (quoiqu'indéfiniment) évoqué, deux (2) journées durant lesquelles, après confrontations lointaines avec moult. partenaires amicalo-professionnel(l)es, échanges informationnels, agitations névrotiques, empathies conciliantes et bras-ballances relativistes, après tout cela donc, il semble qu'une (métaphorique toujours) sortie lumineuse de tunnel (?) commence à se laisser entre-apercevoir à travers la brume, le brouillard, voire l'obscurité totale (ou partielle), laissant ainsi envisager une résolution (plus ou moins) heureuse de cette fort embrouillée et compliquante situation. De là à conclure à une (bien hypothétique) harmonie du monde retrouvée, il y a un pas dont la dimension extrêmement étendue interdit, sans aucun doute, le moindre franchissement pédestre, et ce même pourvu d'une (toute aussi hypothétique) paire de bottes de sept lieux, (ce qui, après inutile consultation internique, représente vingt-huit kilomètres (28), puisque la mesure de la lieue, (qui s'avère féminine de surcroît), est d'environ quatre (4) kilomètres... Il peut être alors intéressant (ou pas) de signaler, (alors que j'ai hésité un instant à placer cette (éventuelle) intéressance à l'intérieur de cette parenthèse), intéressant peut-il être alors (ou pas) me répètes-je, (cette répétition médiocrement doublée d'une inversion syntaxique ne servant qu'à noyer un poisson qui, à n'en pas douter, doit l'être depuis fort longtemps), de constater qu'une botte d'une lieue (si celle-ci existe) ne permettrait qu'encore moins le franchissement de ce (métaphorique toujours) espace (très grand donc) à franchir pour conclure ouvertement à l'harmonie du monde retrouvée, comme je l'avais, (peut-être un peu trop naïvement), envisagé précédemment. Je crois que je vais présentement faire l'impasse sur un (pourtant prévisiblement) salutaire verre d'eau et aller directement m'allonger sur mon ensemble sommeillique pour repenser à tout cela, (ou pas). Merci à toi, lectrice (?), lecteur (?), entité internique (???), de ton attention, par certains côtés, assez étonnante.