L'attente du lendemain

Alors que j'aurai pu raconter ma sortie d'hier soir dans le monde nocturne extérieur, revenir sur les récents (dilemnants) échanges de messages cell-phoniques (cf. notes précédentes), évoquer l'(agréable) après-midi passée en compagnie d'un couple (avec enfant) d'ami(e)s rencontrés (presque) par hasard lors d'une déambulation piétonnière (qui permit la découverte d'une (nouvelle) librairie, où j'acquis deux ouvrages livresques, à titre d'encouragement marchand), expliquer pour quelle(s) exacte(s) (?) raisons(s) je ne vais pas ce soir accompagner un (autre) couple d'ami(e)s à respectivement deux endroits down-townien (le premier, bruyant et enfumé, où les (nombreux ?) gens, après s'être acquitté d'un droit d'entrée, assistent aux prestations scéniques et sonores d'autres gens, moins nombreux et scéniquement localisés, puis par la suite un deuxiéme endroit, bruyant et enfumé, privé et festoyant (?), où les (nombreux) gens se réunissent festivement (?) pour faire la fête (?)), alors que tout ça donc, force est de constater que je ne peux que me contenter, (contrit), de conclure cette (présente et) digressive phrase. Très prévisiblement, par la suite, j'absorberai quelques verres d'eau, picorerai (?) quelques légumes saladiques, puis adopterai la position couchée sur mon ensemble sommeillique, attendant patiemment la fin de cette journée, tout de même un peu fatigante, psychiquement parlant, (et pour de privatives raisons...). Je fais ce que je peux.

Comments

[parentheses]

bizarre mais compréhensible, ce qui n'est point la moindre des compensations... :-)

[gilda]

Alors on dira que l'attente du lendemain vaut moins mal que sa peur.

(elle est bizarre ma phrase, suis un peu fatiguée (pour changer))