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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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8 décembre 2007

la pathologie oisive

Toujours sous le joug (?) de l'insidieux virus (grippal ?) qui, malgré le recours (illusoire ?) à une médication allopathique, ne cesse de faire plafonner ma température corporelle interne (?) en des seuils (relativement) considérables (mais point non encore létaux), force est de constater que, pour une fois (?), je n'ai pas de réelle autre issue que celle de ne rien faire, passant le plus clair de mon temps allongé sur mon ensemble sommeilllique dans un état fiévreux où périodes de veille cotonneuse (et ahurie (?)) succèdent à d'autres plus directement inconscientes. Du coup, je ne m'étendrai pas plus longtemps là dessus (?), et vais (faiblement) retourner m'allonger, non sans signaler que, malgré le ciel (agréablement) bleu et venté de ce samedi décembrien, point ne suis-je sorti aujourd'hui pour la (pourtant) traditionnelle prise caféïque. C'est dire la tout puissance de l'attaque maladive en cours, (qui ne perd rien pour attendre...).
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Chez nous, là bas loin dans le nord, bien au septentrion de la Loire qui partage la doulce France en deux moitiées hétérogènes, je reprends un peu d'air, chez nous donc la pluie ne cesse de tomber poursuivant les dernières feuilles dont la chute est advenue en début de semaine.<br /> Le redoux toutefois a frappé fort, et ça et là nous rencontrons des individus catarrheux qui n'ont, bien qu'ils le devraient, adopté une attitude allongée cotonneuse et ahurie.<br /> Cette solidarité quinteuse est-elle de nature à réduire la fracture loiresque et beautempique, il faut en douter puisque sur un critère si fort que la consommation de pastis, dont les bretons sont champions, contrairement à d'autres idées reçues, il appert que d'autres liens n'ont pu prospérer durablement.<br /> Mais ce n'est pas le tout, je m'égare il il m'en faut retourner avant la nuit qui tombe vite.
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