8 décembre 2007
la pathologie oisive
Toujours sous le joug (?) de l'insidieux virus (grippal ?) qui, malgré le recours (illusoire ?) à une médication allopathique, ne cesse de faire plafonner ma température corporelle interne (?) en des seuils (relativement) considérables (mais point non encore létaux), force est de constater que, pour une fois (?), je n'ai pas de réelle autre issue que celle de ne rien faire, passant le plus clair de mon temps allongé sur mon ensemble sommeilllique dans un état fiévreux où périodes de veille cotonneuse (et ahurie (?)) succèdent à d'autres plus directement inconscientes.
Du coup, je ne m'étendrai pas plus longtemps là dessus (?), et vais (faiblement) retourner m'allonger, non sans signaler que, malgré le ciel (agréablement) bleu et venté de ce samedi décembrien, point ne suis-je sorti aujourd'hui pour la (pourtant) traditionnelle prise caféïque. C'est dire la tout puissance de l'attaque maladive en cours, (qui ne perd rien pour attendre...).
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