24 décembre 2007
Le (relatif) accroissement (hypothétiquement) pré-cotoyant
De retour, par voie pédalocomotrice (traversant la cité phocéenne complètement déserte du fait des réjouissances festives traditionnelles) d'un (agréable) dîner (non moins) traditionnel en familiale compagnie, il m'apparaît important, pour celles et ceux (?) ayant suivi les dernières non-aventures (hypothétiquement) pré-cotoyantes avec la charmante jeune et féminine créature (déjà maintes fois évoqué lors des notes de ces dernières semaines), de signaler son (malheureusement) rapide passage (une nouvelle fois inattendu et délicieux) en ce début d'après-midi pluvieux, alors que je revenais à peine d'une préalable sortie down-townique à finalité consommatrice.
Ainsi, force est de constater une considérable augmentation statistique (et concrète) de cette délicieuse présence, entité baignant il y a deux jours encore dans une abstraction la plus totale (?), juste alimentée par de (délicieux certes, mais bon...) échanges de messages cell-phoniques.
Toutefois, alors que j'aurai pu (assez exceptionnellement dois-je admettre) me laisser aller à une (festive ?) euphorie et magie conte-de-fée-noëllienne, il apparaît que le contexte temporel général (et particulier), et les différentes " obligations " familiales concomitantes, vont, dés demain, remettre la possibilité d'une nouvelle rencontre à une date non encore précisément définie, (ce qui est résolument moins festif, euphorique ou magique).
Du coup, je crois que je vais aller boire un (ou plusieurs) verres d'eau et retrouver le quotidien embrouillé, confus et (assez) drôle d'une autre délicieuse (quoiqu'excessivement plus virtuelle) charmante féminine créature, (Nancy est son nom personnagique), en deuxiéme saison dévédienne, en attendant que quelque chose se précise quelque part (ou pas)...
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