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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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23 janvier 2008

le dysfonctionnement interne (et constitutif ?)

" Ça va moyen...". Alors que la note juste précédente se penchait sur les possibles signifiances expressives, (en précisant, au passage, les plus concrètes (et décourageantes) réalités et orientations prévisionnelles), de la phrase (climatique) introductionnelle, ( " aujourd'hui, il fait beau. "), la présente phrase (perceptive) introductionnelle (de cette présente note) représente elle avec une (troublante ?) justesse l'actuelle sensation ressentie, alors que, ayant toutefois évité la noyade volontaire dans des eaux certes méditerranéennes mais singulièrement nauséabondes (cf. note précédente), et m'en revenant dans mon intérieur domicile (non dépossédé de mon bien pédaleux (?)), toutefois un peu dépité par l'annonce de la (très moyennement sympathique) secrétaire médicale m'informant que le rendez-vous dentisitique planifié de longue date se trouvait résolument dans un espace temporel (à l'heure actuelle) totalement inaccessible puisque daté du mardi 22 janvier 2008 à 11h45 (hier), et que donc aujourd'hui, comme tout le monde peut s'en rendre compte (assez) facilement (c'est déjà ça...), nous sommes mercredi 23 janvier 2008, date à laquelle je me suis rendu à mon rendez-vous arrêté à 11h45, initialement prévu pour la veille (donc). Rapidement conscient, après rapides vérifications internes (?), d'être le seul responsable de cette méprise planninguienne (obligeant à un (un peu pénible) décalage des rendez-vous thérapeutiques déjà planifiés, du fait de la (légitime ?) mauvaise volonté de la secrétaire médicale autant que maugréante), force est de constater un patent dysfonctionnement de mon système réfléchissant interne et ma (temporaire ?) incapacité à organiser un tant soit peu quelques aspects (pratiques ou pas) d'un quotidien (toujours) un peu confus et chaotique, et cela probablement du fait d'un état global " moyen ", comme il est dit plus haut, nous permettant ainsi de " boucler la boucle ", (pour autant que nous soyons de celles ou ceusses qui usiâssent (???) de cette expression...), et d'ainsi clôturer cette note qui, si elle eut été postée une à deux heures plus tard aurait pu être qualifiée de " note de début d'après-midi ", ce qui n'est pas vraiment le cas puisqu'il est actuellement 13h09, et que j'ai tendance à (arbitrairement) situer le début d'après-midi vers les 14h. Finalement, que dire de plus...?
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Commentaires
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De cette carence en appétence auto destructive due à la saleté du liquide noyant, il me vient une humeur boutadineuse qui me pousse à imaginer ce qui au seizième siècle eut été le discours d'un Honoré d'Urfée constatant au contraire la transparence des eaux du Lignon et l'impossibilité de s'y aller noyer pour cause d'absence de désespoir.<br /> Ors que devers nous couloit une onde pure propre à servir de bain aux nymphes les plus délicates, nostr'âme étoit empéstrée d'un combattement inoui.<br /> <br /> Adoncque n'avions en nostre teste nul sujet de mécontentement tel qu'amour deçu, disgrace de nostre prince, manquement de pécune, blessure d'honneur ou ardement de vérole qui pouvoit nous induire à nous aller soustraire à ce monde en nous précipitant en si aimable rivière et cependant grandement nous en chalait tant il n'aurait su se rencontrer si charmant trépassement.<br /> <br /> Mais qui dira si hier précisement un vélocypédoclaste n'eut mis à mal le dit engin de deux roues munies!
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