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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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11 avril 2008

le point situationnel (et la très hypothétique émergence de l'éventuelle troisième saison)

Alors que ma traversée (quoique le terme " errance " par bien des côtés semble plus adéquat) désertante se poursuit (cf. notes précédentes), dans de vastes territoires tantôt inquiets tantôt confiants, et dans un contexte encore assez confortable (chose qui ne serait durer de par la disparition prévisible (incontournable) de revenus financiers), me revoilà de passage en cet espace blogguesque décidément bien délaissé ces derniers temps (semaines ? mois ?), afin d'informer le monde internique dans sa globalité (?) de la piètre (et prévisible itou) avancée de ces journées qui passent (inlassablement ?). Commençant (à peine ?) à m'habituer au nouvel ordre intérieurement domestique de mon intérieur domestique (?), clair, rangé (et très relativement dégagé), force est de constater que pour le reste, hormis de (fumeuses) considérations existentielles, les choses n'évoluent (à mon grand dam) que fort peu, et ce malgré mes (très ponctuelles et désordonnées ?) tentatives d'ouvertures socialo-professionnelles et/ou fémino-créaturiquement côtoyantes. Toutefois, alors que je continue encore à investir mes dernières réserves financières dans divers matériels susceptibles de m'être utiles (?) dans l'avenir incertain, il apparaît, tant que rien n'avance réellement avec le monde global (?), que la génération (autonome) de projets grandement hypothétiques reste encore l'une des rares pistes directionnelles susceptibles de résoudre quelque chose (?) à toute cette histoire. Egalement un peu navré de l'abandon (sus-évoqué) de cet espace blogguesque que je peine singulièrement à faire évoluer (en même temps, a-t-il réellement évolué ces trois dernières années, chose qui s'avère assez logique quand l'on (essaie) de traiter quotidiennement du rien et du néant...), et alors que je m'interroge encore (nature obstinée) sur la forme que pourrait (éventuellement) prendre l'hypothétique troisième saison de " ce que je fais de mes jours ", ne voilà-il point qu'en ce milieu d'après-midi vendredien plutôt gris me vient (soudain ?) l'idée que cette (éventuelle) troisième saison pourrait peut-être justement se trouver constituée des différentes voies hypothétiquement projectales évoquées dans le paragraphe juste précèdent, tout en étant bien conscient que cette (hypothétique, éventuelle, improbable) démarche lèverait ainsi une part du mystère (?) sur ce qui constitue une part de mon quotidien, ou en tout cas permettrait de préciser un tantinet quelques exemples de ces " projets hypothétiques ", (figure sémantique récurrente de cet espace blogguesque), tout en étant bien conscient qu'outre l'imprécision (constitutive et) obscure de tout ce discours, il n'en reste pas moins que le monde internique dans sa globalité n'en n'a pas grand chose à faire... En même temps, ces nouvelles directions projectales en étant encore à leurs balbutiements, il apparaît prévisible qu'un certain temps va s'avérer nécessaire avant l'éventuelle naissance de cette (fort fantasmatique) troisième saison, ce qui, une fois de plus, me permet (allègrement mais un peu contrit tout de même) d'user de cette (autre) formule récurrente en ces lieux, à savoir: on n'est pas rendu... Nous voilà bien avancés...
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Commentaires
S
ben voilà <br /> j'attendais la suite, la prochaine tout ça <br /> (bon juste c'était pour mettre mon nom et mon lien mais chuuuuuuuuuuut)<br /> <br /> bisous monsieur l'artiste
X
Etre bien avancés dans le pas rendu, c'est bien ce genre de discours qui est je pense nommé oxymore. <br /> Le correcteur automatique pour sa part s'acharne à me faire changer ce dernier terme par Sycomore, mais nous ne nous en laisserons point conter.<br /> Nous attendrons donc de voir ici le départ de la saison nouvelle et le dévoilement des futurs projets non hypothétiques, et pour autant que je sache sonores.
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