le point situationnel (et or-doncquien)

Or donc, plus d'un mois s'est passé depuis ma dernière postance internique. Une naturelle honnêteté m'oblige à reconnaître que si effectivement il ne s'est pas rien passé ces dernières semaines, force est de constater que nous (que veut vraiment signifier ce " nous " fort illusoirement collectif ?) n'avons guère avancé. En même temps, il aurait été tout aussi illusoire de considérer, en dernière analyse, que quelque chose puisse " réellement " avancer, pour autant que nous (encore ?) puissions établir une définition vraiment précise de ce que nous (c'est le dernier, j'envisage de revenir très rapidement au "je " habituellement usité...) entendons par ce " délicat " concept d'avancement. Or donc, reprends-je répetitivement, bien qu'une (relative) forme et énergie (passablement diminuées par les fortes chaleurs estivales) se soient (progressivement) re-dévelloppé en mon intérieur psycho-corporel, les avancées concrètes restent fort minimales. Le point donc: Les projets hypothétiques peinent un peu à réellement s'envoler vers des horizons réellement (probants et) réalisatoires, la cotoyance fémino-creaturienne semble aussi rencontrer encore quelques imprécis et confus obstacles, la situation financière globale non encore catastrophique se dirige benoîtement vers une paupérisation difficilement contournable du fait de l'encore relative (et patente) difficulté à une réelle reconversion post-desertique (cf. notes antérieures). Paradoxalement le moral, après quelques pénibles traversées de zones de turbulences psycho-sentimentales autant qu'existentielles, semble plutôt bon, ce qui est (plutôt itou) une bonne chose, et malgré quelques soucieuses inquiétudes, (que faire de cet été stagnant où exceptionnellement je ne vais plus sillonner les routes de france ou d'ailleurs pour des réalisations de projets non hypothétiques en partenariat amicalo-professionnel ? Comment aborder la rentrée avec cette nouvelle situation financière ? C'est quand que j'arrive enfin quelque part où tout (?) baigne ? etc.), force est de constater un état d'esprit et une attitude globalement positive. Voilà donc où en sont les choses en cette fin de matinée dimanchique durant laquelle je m'interroge encore sur ce que je vais bien pouvoir faire pour atteindre l'extrémité terminale de cette journée avec un minimum de satisfaction. Or donc, on n'est pas rendu...

Comments

[xiao-bob]

Privé de blog par l'incompétence répétitive de ma plateforme vingt-sixienne, je passe donner signe de vie.

C'est pas demain que je blogue ferme, pas rendu non plus.

[Léa]

Pour répondre à ta question, je cite :"C'est quand que j'arrive enfin quelque part où tout (?) baigne ? " même si tu ne me pose pas la question personnellement, je me sens assez investie dans la lecture de ta note pour me permettre d'y répondre ! Donc, la réponse est : "JAMAIS" ! Mais cela dit il est interessant de garder malgré cela une attitude "globalement" positive...!
Bien à toi !...
Léa.