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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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5 janvier 2009

climatologie sous milieu stérile (?)

De retour de ma (tragique) escapade (campagne ?) bruxelloise il y a prés de trois (3) semaines (cf. ici), je constatais une (conséquente) modification de mon territoire quartiéral (et quotidien), sous la forme d'un (nouvel) aménagement au sein du bar terrassique en bas du boulevard, (dans lequel quotidiennement je m'abreuve de matière caféïque).
Ainsi une extension vérandienne en toile rouge et matière plastique transparente, recouvre maintenant une partie non négligeable de la surface terrassique (externe donc), sorte de sas (plus ou moins) isolé de l'extérieur climatiquement hostile, permettant aux usager(e)s nicotineux de consommer cafés et autres boissons barresques attablé(e)s et (relativement) protégé(e)s de la glaciation externe.
Depuis lors, après une (nécessaire) période d'adaptation, j'ai donc élu " domicile " à une table (nouvellement) orientée, au sein de cet espace protégé, qui ressemble (étrangement) à une cage (stérile) à oxygène, censée protéger des agressions virales et microbiennes extérieures, quoique néanmoins emplie d'un léger brouillard nicotineux.
Force est de constater toutefois, du fait de la matière plastique transparente imitativement vitreuse (fenêtrique ?), une perte sensible de la précision observatrice du monde extérieur (humanoïdes déambulants, charmantes et floues créatures féminines, et autres éléments et événements espace-publiquiens), rendant par moments plus confuse encore l'appréhension du monde extérieur.
Ou sinon aujourd'hui, il fait (presque aussi) beau (qu'hier), mais il fait beaucoup plus froid.

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Commentaires
P
Assez réjoui de pouvoir, pour une fois, amener clarté et précisions manquantes (repoussant ainsi fort loin le monde arbitraire et chaotique (?)) à ces considérations commentairiques, il semble, à vue de nez, qu'assez étonnamment la longueur de cette extension vérandique soit inférieure aux quinze mètres, (arbitrairement considérés), et plus proche des sept à huit mètres, pour une profondeur, cette fois-ci, effectivement inférieure à cinq mètres.<br /> Du coup, cette terrasse (sous bulle protectrice ?), regroupe alors deux séries de trois tables (avec deux chaises face-à-faciennes par table), séparées par un court couloir de navigation.<br /> Outre le fait que, dans le cas d'attirances érotiques spécifiques de fort tonnage, cette disposition, plutôt resserrée, ne laisse malheureusement aucune possibilité à une personne " forte " de s'y installer, il peut être intéressant (ou pas) de remarquer ici une sorte de similitude espacique avec un compartiment de train, des fauteuils face-a-faciens séparés par une petite tablettes de chaque côté d'un couloir central déambulant.<br /> Ainsi les consommateurs(-trices) se trouvent donc comme installé(e)s dans un train à l'arrêt, avec toutefois un paysage (spécifiquement, car les arbres ne bougent pas eux) humanoïde défilant derrière les (troubles) vitres plastifiées.<br /> Monde merveilleux.
X
Pas de données chiffrées aujourd'hui, d'où il ressort que je me sens en devoir de m'y mettre.<br /> En considérant donc que la terrasse du bistro néovérandisé n'occupe pas une longueur inférieure à quinze mètres, ni une profondeur supérieure à cinq mètres (ces dimensions étant prises arbitrairement à défaut de précisions manquante (ce qui est un qualificatif pléonastique))nous pouvons donc disposer d'une surface au sol de 75 mètres carrés dont il convient de déduire les embrasures de portières et les couloirs nécessaires aux évolutions du personnel.<br /> Si l'on considère que la hauteur de l'édicule doit avoisiner les 2,80 M afin que la pratique non atteinte par le petittaillisme qui nous est personnel s'y trouve à l'aise, le volume brut diponible est de deux cent dix mètres cubes (que nous exprimons en lettres pour lui donner plus d'importance.<br /> Après il faut calculer le volume d'une créature désirable (critère éminemment variable en fonction des ses attirances érotiques) et à l'aide de tables statistiques idoines, calculer la probabilité mathématique que l'espace précité soit partiellement occupé par un corps créatural tel que défini.<br /> J'en vois qui dorment.
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