climatologie sous milieu stérile (?)
De retour de ma (tragique) escapade (campagne ?) bruxelloise il y a prés de trois (3) semaines (cf. ici), je constatais une (conséquente) modification de mon territoire quartiéral (et quotidien), sous la forme d'un (nouvel) aménagement au sein du bar terrassique en bas du boulevard, (dans lequel quotidiennement je m'abreuve de matière caféïque).
Ainsi une extension vérandienne en toile rouge et matière plastique transparente, recouvre maintenant une partie non négligeable de la surface terrassique (externe donc), sorte de sas (plus ou moins) isolé de l'extérieur climatiquement hostile, permettant aux usager(e)s nicotineux de consommer cafés et autres boissons barresques attablé(e)s et (relativement) protégé(e)s de la glaciation externe.
Depuis lors, après une (nécessaire) période d'adaptation, j'ai donc élu " domicile " à une table (nouvellement) orientée, au sein de cet espace protégé, qui ressemble (étrangement) à une cage (stérile) à oxygène, censée protéger des agressions virales et microbiennes extérieures, quoique néanmoins emplie d'un léger brouillard nicotineux.
Force est de constater toutefois, du fait de la matière plastique transparente imitativement vitreuse (fenêtrique ?), une perte sensible de la précision observatrice du monde extérieur (humanoïdes déambulants, charmantes et floues créatures féminines, et autres éléments et événements espace-publiquiens), rendant par moments plus confuse encore l'appréhension du monde extérieur.
Ou sinon aujourd'hui, il fait (presque aussi) beau (qu'hier), mais il fait beaucoup plus froid.