la vie rêvée (?)

Aujourd'hui, j'ai (exceptionnellement) reçu deux (2) mails de deux (2) distinctes (charmantes) et féminines personnes, l'une m'informant de son retour dans la cité phocéenne et l'autre m'informant de son (futur et) court passage dans la (même) cité phocéenne. Si je précise maintenant que l'une d'elle, (la retournante), est la partenaire (malheureusement exclusivement) natatoire (déjà) évoquée ici, et que l'autre, (la passante), agréablement rencontrée lors de la (tragique ?) épopée belge (fin d'année dernière) ne répondit nullement à un (pourtant) amical (et chaleureux) mail envoyé en début d'année, force de constater que la première phrase introductionnelle de cette (présente) note en voit son impact fantasmo-imaginatif (?) singulièrement réduit. Du coup, je pense que je vais aller retrouver mon (virtuel) ami jack b. au prise avec une adversité qui dépasse tout entendement, (traîtrises, félonies, embarras gastriques et tracas administratifs ?), toujours aussi (étonnamment) performant avec sa quinzaine d'heures (épisodiennes) dans les pattes, ce qui est plutôt une bonne chose pour lui, (et donc aussi pour la globalité du monde gentil...), puisque je suis obligé de reconnaître que je ne vais pas (vraiment) pouvoir l'aider, (re)puisque j'envisage (présentement) plutôt d'aller boire un verre d'eau dans le lieu cuisinique, avant d'aller m'allonger sur l'ensemble sommeillique et (très probablement) rapidement m'endormir. Bonne chance, jack !

Comments

[parentheses]

Bin oui, j'ai pas quatre mains, (surtout quand j'ai sommeil).
En même temps, pas si mauvais (et égoïste) bougre que ça, ayant en ma possession la (suivante) sixième saison des journées singulièrement remplies de ce sacré jack b., je sais bien qu'il va se sortir de tout ce bourbier avec le brio (performant) qui le caractérise, quitte à perdre quelques plumes, voire quelques proches personnes scenaristiquement dézinguées, (mais dans ce dernier cas, je n'y suis pas pour grand chose...).

[gilda]

J'adore ta conclusion. Alors comme ça tu le laisses tout seul face à tant d'adversité ! On ne peut décidément (même) pas compter sur ses spectateurs.