11 mars 2009
l'(hypothétique) recommencement non-chocolateux
Dans vingt milliards d'années, je ne pourrais vraisemblablement plus dire: " tiens, je mangerai bien un bout de chocolat. "
En même temps, comme il n'y en a pas (présentement) en mon intérieur domestique, (et que trop inerte suis-je pour sortir en chercher), si je dis maintenant " tiens, je mangerai bien un bout de chocolat ", je me retrouverai (grosso-modo) dans la même situation.
C'est sans issue.
Publicité
Publicité
Commentaires
X
X