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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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12 avril 2009

le dimanche (survivant) pas pire que ça

Aujourd'hui, outre avoir passé un (très) agréable moment familial dans un très bon restaurant (dans lequel, dentition endommagée oblige (cf. notes précédentes), je dus me contenter (?) de (très) bons spaghettis au pistou, pourtant fort tenté par d'autres (séduisants) plats résolument plus viandeux, mais dentistiquement (temporairement ?) impraticables), puis avoir accompagné par voie autoroutière une partie de cette (très) proche famille (soeur et neveux) en un endroit extra-muros spécifiquement dédié aux déplacements aériens, (cette très proche famille s'en retournant en son respectif intérieur domestique extra-national, quoique intra-européen), me revenant en mon territoire quartieral pour une prise caféïque au bar en bas du boulevard, je rencontrais, par le plus grand des hasards, une fort charmante féminine (et plantureuse) créature (peu connu de moi puisque juste quelques rares fois croisé dans un tout autre contexte autant activique que géographique) accompagnée de deux (2) autres (inconnues) personnes masculines, et échangeais avec cet équipage (?) considérations diverses et variées sur la marche du monde et la conduite (parfois) confuses de nos existences (confuses). Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici le réciproque (et un peu trouble ?) plaisir que nous éprouvâmes, la charmante féminine personne et moi-même, à nous retrouver (nous découvrir ?) entre arbitraire, doute, et chaos existentiels, sur la plupart des thématiques abordées, étonnante (et illusoire ?) complicité sensible (et presque tactile) qui, n'était-ce l'état encore un peu meurtri (et douloureux) de ma personne corporelle récemment accidentée, aurait éventuellement pu laisser envisager un (hypothétique) prolongement fémino-cotoyant, (me trouvant, en ce qui me concerne, singulièrement charmé tant par ses mots que par ses (délicieuses) féminines formes), si l'un de nous (moi principalement, mais elle également) eut pris soin d'échanger nos contacts respectifs. Ce que nous ne fîmes pas du fait, entre autre, de l'arbitraire, du doute, et du chaos global. Comme quoi...
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Commentaires
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Cher ami, passer ainsi du presque tactile au non accompli.<br /> Prenez mieux soin de l'émotivité de vos lecteurs.
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