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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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28 avril 2009

l'indélicatesse répétée

Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici qu'après un (nouvel) appel cell-phonique (le dernier ?) à la (encore ?) charmante (parfumée ?) féminine créature très précédemment évoquée, cette dernière a (une nouvelle fois) décliné pour ce soir l'invitation (pourtant décidée conjointement) à une prise de boissons détentatoires (" ce serait mieux demain " dixit la concernée). A partir de là, outre le (personnel) sentiment assez désagréable de paraître par trop insistant (ce qui n'est pas du tout mon intention, et ne s'applique aucunement à mon approche résolument délicate), force est de constater, du fait d'une (légitime) lassitude (existentielle), que j'envisage présentement de clore ce " dossier ", inaugurant ainsi une (nouvelle) série de fiascos femino-cotoyants résolument non exprimés (ce qui est une première). M'interrogeant en passant sur cette (décidément) étonnante aptitude à (repérer et) me trouver confronté à de féminines personnes fort confuses (maladroites ? indélicates ?), je pense toutefois ne point trop m'attarder sur ce (un peu) fatiguant épisode, et plutôt, après un (nouvel) appel commandant à une entreprise de service pizzatoire, m'installer confortablement sur l'ensemble sommeillique pour visionner quelques épisodes singulièrement plus attractifs de cette pourtant violente, chaotique et existentiellement tourmentée (nouvelle) série dèvèdienne, activité qui s'avère finalement, même si par défaut, pas pire qu'une autre. Comme quoi...
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Commentaires
P
la taupe: Point d'inquiétude quant à une (hypothétique) insistance, précisant en passant que seules l'humeur actuelle (passablement maussade) et des circonstances (globales) contextuellement fort chargées justifient, si besoin est, mon retard appelant...<br /> abricot: Merci de votre solidarité et conseil bienveillant, déplorant toutefois personnellement le rapide épuisement, par dévorance (obsessionnelle ?), de la très prenante (et addictive ?) première et dernière, (du fait du refus de poursuivance de la chaîne télévisuelle concernée et productrice) saison (guerrière ?), me laissant (temporairement) sans autres ressources divertissantes autant que dèvèdiennes...<br /> xiao-bob: L'on peut assez aisément considérer que finalement, vous n'avez pas loupé grand chose, tant est forte ma (personnelle) sensation d'une (totale) récurrence sémantique et globale de cet espace blogguesque (très méthodiquement ?) confus. Cela étant, force est de constater que si le port du préservatif avait été en usage à la création du monde, nous n'en serions où nous en sommes maintenant, tout en reconnaissant ma personnelle et totale incapacité à définir précisément où cet endroit existentiel se situe exactement...
X
Je suis totalement complètement absolument entièrement largué.<br /> Loupage d'un grand nombre d'épisodes, mes troubles de l'attention ne me permettent pas de me faire une image précise de l'évolution des approches à finalité côtoyante, des commerces moins orientés, des passages de grosses dames avec terminaisons quatre fromagiques, des adversités multiples, qui c'est certain, contraignirent l'humanité à adopter des attitudes fécondes en progrès de toutes sortes (et même un peu plus)<br /> Je prendrais un exemple qui peut paraître étrange: s'il n'avait jamais plu (on ne mangerait pas de légumes) et notamment les monuments n'auraient pas eu besoin de toiture. En conséquence la chapelle Sixtine n'aurait pas de voutes et Michel Ange n'aurait jamais été en mesure de peindre le fabuleux plafond où le petit Benoit peut constater chaque jour que le port du préservatif n'était pas en usage à l'époque de la création du monde.
A
Pauvre parenthèses, je suis solidaire de votre fiasco amicalo-sentimental avec la plantureuse et charmante partenaire féménino-cotoyante à rejet constentatoire de messages textuel cell-phoniques. Je suis (comme vous) d'avis qu'il vaudrait mieux laisser tomber pour le moment, et vous contenter de la compagnie dévédéïque en intérieur domestique sur support sommeillique et reposatoire.
L
Cher ami, une gonzesse de perdu c'est dix copains qui reviennent... L'ignorez-vous? A ce sujet j'attends toujours votre appel, je vous le dis sans impatience, mais avec amitié. Je ressens bien ce "sentiment assez désagréable de paraître par trop insistant...". Oui oui là, je le sens au plus près. Allez, si le coeur vous en dit... Amitiés (je me répète, non?)
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