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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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5 octobre 2009

l'(absente) continuité

Il peut être intéressant (ou pas) de préciser que l'abandon (relatif) de cet espace blogguesque ces derniers jours (semaines) s'avère la conséquence mixte de, d'une part un dysfonctionnement sans cesse progressant du système informatique usité jusqu'à présent, une situation financière actuelle fort précaire interdisant pour l'heure toute perspective remédiante, et d'autre part d'une (relative) continuité des événements (ou non-evenements) se produisant dans cette période progressivement automnale, finalement pas pire qu'une autre.

Ainsi, quelques (nouveaux ou pas) projets hypothétiques (ou pas) font leur (petit) chemin tant bien que mal (de part l'abandon progressive (et temporaire ?) de l'outil informatique) parmi la grande agitation globale du monde global, de nombreuses vacations terrassiques ponctuent toujours une grande partie du quotidien, lui aussi agrémenté de quelques absorptions de multiples verres d'eau (voire plus exceptionnellement de quelque rouge boisson à fort tanin), et d'agréables plages de fémino-cotoyance emplissent agréablement les plages non spécifiquement consacrées au grand vide global.

Quand j'aurai (assez inutilement) précisé que depuis hier se trouve à mon poignet droit (étant gaucher) une montre pourvue d'étonnantes (et inutiles) capacités (outre l'heure, les horaires des marées, les phases de la lune, etc.), alors qu'il y a fort longtemps que j'avais abandonné cette pratique (utilo-vestimentaire ?), et que j'envisage déjà de l'abandonner de nouveau, mon téléphone portable (qui sonne semble-t-il un peu plus souvent (tout cela restant fort relatif) qu'avant de part projets et fémino-cotoyance) me servant fort correctement jusqu'à présent de fort correct indicateur horaire, (quant aux marées, me trouvant dans la grande cité phocéenne pourvue d'une mer a-maréeïante, force est de constater que je peux aisément m'en passer...), ayant précisé tout cela donc, reprends-je avec un aplomb conséquent, ne me restera plus qu'à clore cette (inintéressante) note, la poster, et retourner à ma non-activité globale et particulière, non sans remercier de leur attention les internautes s'étant aventurés dans cet espace internique qui a connu (autrefois ?) de singulièrement plus emplies (et bavardes) périodes, (mais bon, je fais ce que je peux...).

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Commentaires
X
Ma non fa piu niente
A
Je m'inquiète de ces plages de fémino-cotoyances. Qu'en est-il de votre abandonnesque attitude (cf. notes antérieures) ?
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