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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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7 novembre 2009

le retour du point situationnel

Où en sommes-t-on, à l'issue de ces trente trois (33) jours d'absence (arbitraire) de rédaction postante en cet espace blogguesque, toujours singulièrement déserté ?

Il peut être, dans un premier temps, intéressant (ou pas) de signaler ici que cette (présente) note se voit être rédigée sur un tout nouveau matériel informatique, dont l'acquisition (incontournable ?) fut donc (finalement et) majoritairement votée par l'interne (et intérieur) comité directionnel directeur (c'est à dire moi-même), au prix d'un endettement considérable, et ce au sein d'un territoire financier toujours très précaire.

Aux derniers soucis et tracas de dysfonctionnement (matériellement informatique) patent affrontés durant (et à la fin de) l'été, se sont donc substitués de nouveaux soucis et tracas de configurations informatiques, avec tous leurs wagons d'incompatibilités diverses et variées à (difficultueusement) gérer lors de retorses confrontations entre anciens et nouveaux systèmes...

Suivant (arbitrairement) le séquençage thématique et informatif de la note juste précédente (déjà point-situationnelle, celle-là donc), il peut, dans un second temps, (et selon la formule désormais consacrée), être intéressant (ou pas) de signaler la multiplication (anarchique ? hystérique ?) de multiples (nouveaux ou pas) projets (plutôt) hypothétiques (ou pas), occupant des plages temporelles de plus en plus importantes, avec comme direct effet concomitant la (similaire) multiplication de nouveaux soucis et tracas, principalement d'organisation logistique ainsi qu'humaine de par la cotoyance de plusieurs divers(e)s et varié(e)s partenaires (nouveaux ou anciens) partenaires amicalo-professionnel(le)s. Un (habile ? dispersant ?) éclatement thématique (et conceptuel ?) a permis ainsi l'émergence de nombreux (viables ou pas) projets, certains à l'état d'embryons prometteurs, (pour autant que l'on considère qu'un embryon puisse contenir en son sein (pour autant que l'on considère qu'une embryon soit doté d'un sein, voire de deux si l'on se cantonne prudemment à un territoire mammifèrien plutôt anthropomorphe) une promesse pour l'avenir), et dont certains (il s'agit ici bien évidemment des projets et non des embryons) vont se voir (prochement) réalisés en situation géographique majoritairement intra-muros, fruit et conséquence d'une (autant radicale que discrète et) légère repositionnement du territoire géographiquement localisé ainsi qu'amicalo-professionnel.

Collant (habilement ?) au fil thématique de la note juste précedente (encore celle-ci), il peut, dans un troisième temps, être intéressant (ou pas) de signaler ici, une (légère) réduction des vacations terrassiques (directement liée au groupe informatif de la phrase juste précédente), signalant toutefois ici, en passant, la résurgence (?) très récente d'une féminine (et inconnue) créature féminine évoquée en ces lieux ici, puis encore , qui contre-toute attente s'adressa (avec sourire radieux) à moi, en prise caféïque légèrement néantifiée (sereine et patiente ?), et disserta brièvement sur l'action qu'elle était en train d'effectuer à une proche distance de ma personne (à savoir déplacer et repositionner une chaise, puis une petite table, afin d'orienter sa stagnation terrassique dans le (petit) espace lumineux et soleillant, ce qui, topographie matériellement incontournable la fit s'asseoir (presqu')à mes côtés). Considérablement distrait par le rien global, et toujours dans une (gratifiante ?) abandonnesque-attitude,(cf. notes antérieures que j'avoue ici ne point avoir le courage de rechercher, ayant déjà passé un temps considérable à la retrouvance des similairement antérieures notes évoquées (fort habilement) mises en lien dans cette (présente) note), je ne trouvais rien de très pertinent à répondre (quelque chose de l'ordre de " Oui, c'est agréable le soleil.", consternant autant qu'inintéressant laconisme paresseux). (Du coup ?) par la suite, elle s'assit et partagea son temps entre compulsage de magazines (glacés et féminins), envois de textos (pourtant toujours rien sur mon cell-phone...), et appels cell-phoniques (enjoués ?). Rien de très nouveau donc de ce côté là. Il peut être néanmoins intéressant (ou pas) de remarquer ici que du fait de la (pérenne) fluctuance de l'actualité personnelle et particulière (ainsi que globale), je restais (globalement) assez indifférent à ce qui, il y a quelques mois, lors de la rédaction des notes sus-évoquées, aurait généré en mon intérieur un ressentiment sensiblement plus important.

Enfin bref, quand j'aurai (assez logiquement) précisé ici que l'envisageance abandonnante de l'outil temporel (et montreux ?) hautement technologique et pluri-capacitoire (horaires des marées, phase de la lune, date et heure, etc.), s'est trouvé effective quelques (petites) heures (ou minutes ?) après la rédaction de la dite (juste précedente) note (celle-ci), je pense que j'aurai, dans une mesure non négligeable (quoique que forcément minime et imparfaite), répondu à l'interrogation ouvrant cette présente note (celle-là donc).

Tout cela reste, par bien des côtés, (un tantinet) confondant.

 

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Commentaires
X
J'ai comme l'impression, moi personnellement à qui on ne la fait pas, que cette référence, ingénue et d'aspect anodin, à une période temporelle quantifiée par le nombre 33, révelle une tendance à connotation christique, laquelle en ces moments confus où d'aucuns se rêvent prédicteurs d'événements insoupçonnés, ne fait que parfaire le désordre ambiant, à moins qu'il n'en soit la conséquence, ce dont nous pourrons être fixés dans les trente trois siècles à venir.<br /> D'ici là, il en sera passé des SMS circo-caféïques, le soleil aura détruit de ses ardents rayons bon nombre de revétements terrassiques, nous serons tous fixés sur le réchaufement de la planète et Michel Charasse sera devenu soit un prophète soit un manequin brulé chaque Carnaval sur les places de nos villes.<br /> buvons en attendant toute l'eau et tout le vin qu'il nous siet.
A
La féminine creature magazinante et téléphonante est donc devenu une créature fémino-cotoyante et téléphonante. C'est(certainement) une bonne chose (ou pas) pour vous mon cher parenthèses. J'en suis (relativement) content.
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