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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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20 octobre 2010

le (prudent) non-franchissement

Dans vingt-cinq (25) milliards d'années (intuitivement), il y a fort à parier qu'une expression telle que: " il y a fort à parier " ne veuille plus dire grand chose, (et ce, sans même aller jusqu'à tenter d'imaginer à qui (ou à quoi ?) cette expression sus-évoquée ne voudra pas dire grand chose...)

De là maintenant à essayer d'entrevoir (?) ce que pourrait évoquer cette (présente) note (pour autant qu'elle survive (?) (comment ?) étonnamment à travers les âges...) à une entité (?) pensante (?), enfin, quelque chose du futur (très) lointain, qui posséderait la faculté (ou autre chose d'approchant) de percevoir (et d'évoquer) quelque chose (et donc entre autre cette (présente) note, ce qui serait, reconnaissons-le ouvertement, le fruit complexe d'une fort improbable suite d'événements, par bien des côtés résolument extraordinaire), il y a un pas (un fossé ?) que je m'abstiendrais présentement de franchir, par naturelle (et justifiée) crainte d'une malencontreuse (et dommageable) chute en ce (tant métaphorique que vain) questionnement.

Il peut être intéressant (ou pas) de préciser ici que franchir le pas (certes plus réduit) consistant à s'interroger sur les (présentes) modalités de perception de cette (toujours présente) note par une entité pensante contemporaine (en l'occurrence, une personne humaine), s'avère une (dangereuse) action qui représente elle aussi un risque de fractures, contusions ou plaies superficielles (ou pas) résolument non négligeable. D'où nouvelle (et prudente) abstention.

Nous en sommes (sain et sauf donc) là.

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Commentaires
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Ces considération se rapprochent (pour moi) de celles qui occupaient la matière qui peuple ma boite crânienne ces derniers jours en une ile que l'on dit réunie à notre belle patrie ce qui est géographiquement curieux, encore que l'on n'y ait asservi aucun peuple puisqu'elle était déserte de toute présence humaine.<br /> La question était de savoir quel était le degrés de probabilité que l'on découvre en creusant les parties meubles de l'ile un vase Ming intact.<br /> Si l'on avait voulu être plus précis on aurait pu compliquer le problème en calculant de même la probabilité d'y trouver des tessons d'un vase Ming brisé (précision inutile car à ce jour nul n'a découvert des tessons d'un vase de quelque origine que ce soit qui serait demeuré entier)<br /> On est obligé d'admettre que ces probabilités ne sont pas nulles quoique très (très) voisines de zéro (en effet personne ne saurait prouver par exemple que le fameux navigateur Zeng He ait pu aborder à l'ile que nous nous sommes réunie postérieurement aux années où il parcourait les mers, ceci avant que le fils du ciel ne finisse par édicter que la Chine n'avait pas besoin de girafes.<br /> Que restera-t-il de cette problématique dans vingt cinq milliards d'années? J'affirme qu'elle sera entière car (au contraire d'autres prétentions) indépendante d'un cerveau <br /> quelconque pour exister encore et dans les siècles des siècles etc.<br /> Il en aura encore pour dire qu'ici le problème serait de tout autre poids que là.
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