le (prudent) non-franchissement
Dans vingt-cinq (25) milliards d'années (intuitivement), il y a fort à parier qu'une expression telle que: " il y a fort à parier " ne veuille plus dire grand chose, (et ce, sans même aller jusqu'à tenter d'imaginer à qui (ou à quoi ?) cette expression sus-évoquée ne voudra pas dire grand chose...)
De là maintenant à essayer d'entrevoir (?) ce que pourrait évoquer cette (présente) note (pour autant qu'elle survive (?) (comment ?) étonnamment à travers les âges...) à une entité (?) pensante (?), enfin, quelque chose du futur (très) lointain, qui posséderait la faculté (ou autre chose d'approchant) de percevoir (et d'évoquer) quelque chose (et donc entre autre cette (présente) note, ce qui serait, reconnaissons-le ouvertement, le fruit complexe d'une fort improbable suite d'événements, par bien des côtés résolument extraordinaire), il y a un pas (un fossé ?) que je m'abstiendrais présentement de franchir, par naturelle (et justifiée) crainte d'une malencontreuse (et dommageable) chute en ce (tant métaphorique que vain) questionnement.
Il peut être intéressant (ou pas) de préciser ici que franchir le pas (certes plus réduit) consistant à s'interroger sur les (présentes) modalités de perception de cette (toujours présente) note par une entité pensante contemporaine (en l'occurrence, une personne humaine), s'avère une (dangereuse) action qui représente elle aussi un risque de fractures, contusions ou plaies superficielles (ou pas) résolument non négligeable. D'où nouvelle (et prudente) abstention.
Nous en sommes (sain et sauf donc) là.