l'avancée de l'intrusion pathologique (et la réduction d'un groupe générique)

Alors que je ne peux que reconnaître (subir ? accepter ?) aujourd'hui la patente avancée de l'intrusion pathologique évoquée dans la note (éponyme) du 1 décembre 2010 (celle-ci) et de ces (un tantinet) pénibles symptômes liés (bronches encombrées, toux et éternuements multiples et vigoureux, etc.) ne m'autorisant en ce jour qu'une stagnante (mais pas si désagréable que ça, entre flottements fiévreux, locomotion lente et longs séjours allongés sur ensemble sommeillique) journée en intérieur domestique, il peut toutefois être intéressant (ou pas) de signaler ici que la plupart des rendez-vous évoqués dans cette même (passée) note éponyme ont pu être assurés dans d'assez bonnes conditions.

Et qui plus est, avant mon (relatif) effondrement aujourd'huien (l'avancée pathologique grippale ?), bravant hier un climat (extérieur et nocturne) ouvertement froid, j'ai pu volontairement (et agréablement) recroisé quelques instants la charmante et féminine créature évoquée dans la (plus ancienne encore) note du 28 novembre 2010 (celle-là), faisant donc (agréablement) sortir (pour un temps ?) cette charmante (et hasardeuse) rencontre du " groupe générique de choses autrefois multiples (ou fréquentes) et se faisant progressivement rares.", ce qui est plutôt une bonne nouvelle, même s'il parait effectif que cette nocturne et hieresque sortie, pourtant prudemment appréhendée et préparée (équipement vestimentaire rigoureux, chaud et protecteur), ait grandement favorisé la progression inéluctable du virus (ou des bactéries ?) en mon organisme déjà passablement affaibli. En même temps, je fais ce que je peux...

Comments

[gilda]

On voit ça. (ton sec)

:-)