Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
Publicité
Archives
11 décembre 2010

la (ponctuelle ?) embellie

Il peut être intéressant (ou pas) de signaler, (une fois n'est pas coutume...), une bienfaisante satisfaction éprouvée lors de l'exceptionnel déplacement extra-muros qui s'est déroulé hier dans de très bonnes (et agréables) conditions. Tout d'abord, le trajet autoroutier m'a (agréablement) permis d'échanger considérations diverses et variées sur la marche du monde et celles de nos existences (plus ou moins) confuses avec le vieil ami (que je n'avais pas vu depuis les (tristes) événements circonstanciels).

Ensuite, alors que dans mon souvenir la ville bord-de-merique (distante d'une soixantaine de kilomètres de la cité phocéenne où est localisé mon intérieur domestique) dans lequel se déroulait la manifestation (cf. note hiéresque), était de toute évidence, de par quelques expériences passées, assez aisément considérée (je ne parle qu'en ma personne) comme une cité assez pourrie (et résolument glauque), nous eumes le plaisir, mon camarade et moi-même, de découvrir une ville singulièrement agréable (chatoyante ?) où jolies illuminations noëlliques et ravalements (coûteux ?) de façades rendait le décor et l'ambiance globale fort accueillant. Nous n'eumes de plus aucune difficulté notoire à arriver directement à l'endroit où les choses se passaient, à aisément garer le véhicule transportant, et à profiter de (proches) infrastructures (commercialement alimentaires) où nous pûmes agréablement nous sustenter, entourés (miraculeusement ?) d'un très grand nombre de très charmantes féminines créatures.

Par la suite, nous rendant dans l'opéra (car cela se passait dans un opéra, endroit habituellement peu fréquenté par ma personne) assez plaisant, grand et confortable (ainsi que (toujours assez étonnamment) empli d'une multitude de charmantes créatures féminines), nous passâmes un excellent moment entre douce mélancolie et excitante perplexité (puisqu'assistant à la réalisation d'un ancien (et ponctuel) projet non hypothétique, en suspens depuis plus d'une vingtaine d'années, exécuté (délicatement) avec une (fort étonnante) intemporalité).

Il peut être également intéressant (ou pas) de signaler qu'un agréable (et chaleureux ?) appel cell-phonique de la charmante féminine créature (aux beaux yeux bleus) avec laquelle je déjeunais il y a quelques jours, (appel qui nous permit, entre autre, d'arrêter une future (et prometteuse ?) entrevue), rajouta un petit (mais signifiant) plus dans la satisfaction de l'instant.

Du coup, assez étonnamment, l'opportunité (certes encore très flottante, car rester (un tantinet lucide) souhaitable il est) de se retrouver (métaphoriquement) gambadant dans de grandes étendues vertes et vallonnées, tel un (petit) mammifère (à queue chatoyante ou pas) ludique et joyeux sautant de buissons en rivières (?), se profile (encore vaguement, mais bon...) sur un horizon qui se trouvait, il y a peu encore, singulièrement déserté et grandement chaotique. Ce qui reste, même si sans lendemain ni suite probante, quand même plutôt encourageant pour l'heure, (et toujours un relatif camouflet à l'adversité retorse et taquine qui s'en prend, parfois lâchement, à ma (pas si fragile que ça ?) personne).

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité