les cadeaux de l'existence

Alors qu'il m'a fallu plusieurs heures (!) pour emballer la multitude de cadeaux (paupériques, inutiles et plutôt kitschs pour certains, cf. notes précédentes) avant une imminente retrouvance de la lointaine (géographiquement) proche famille (arrivée il y a peu dans la cité phocéenne), la (présente) note sera donc brève, (cette brièveté s'avérant un paramètre, et j'en suis le premier contrit, totalement indépendant de l'intérêt de cette note...).

Ou sinon, et pour rester dans l'inintéressante thématique cadeauïque, force est de constater que si l'adversité taquine et retorse me lâchait un peu, cela ne serait pas un cadeau pire que les autres...

Comments

[parentheses]

Un tantinet soucieux (inquiet ?) de l'inquiétante (alarmante ?) absence de (réelles) perspectives de cette (nouvelle ?) année qui arrive avec ses multiples (et prévisibles) fronts adversiques, je vous suivrais volontiers, cher ami, dans ce (prudent) évitement de 2011, tout en considérant (lucidement) qu'un passage direct en l'an 25 000, tout bénéfique qu'il puisse être, risque (malencontreusement) d'être sans réel effet sur nos (actuelles) personnes, nos respectifs et constitutifs atomes se trouvant alors très probablement éparpillés dans l'univers global, sans la moindre possibilité de faire (ou de se faire) des cadeaux, de consommer victuailles, voire de faire quoique ce soit susceptible d'amener satisfaction et enthousiasme (béat ou pas)...

[xiao-bob]

Pour les cadeaux, cette année je fais dans le sobre, c'est peu dire.
Un tantinet trop sobre, inexistant.
Mais des cadeaux, il me semble que j'en fais toute l'année, aux autres et à moi même.
Je m'en sens ragaillardi et je ne mangerai pas les foie gras, huitres et autres, assaisonnés de mauvaise conscience.
Si la marche du monde doit en être chamboulée, nous éviterons 2011 qui se présente sous des auspices désagréables.
Passerons nous directement en l'an 25 000 qui vous est cher?