la petitesse adversique (4)

Entre les quelques heures passées ce matin en (toujours un peu désagréable) milieu hospitalier (afin d'entamer un (vain ?) processus thérapeutique censé influer sur une préoccupante problématique, non évoquée en ce lieu blogguesque pour de personnelles raisons), et une (petite) heure cet après-midi en entrevue avec la (très) charmante féminine créature aux beaux yeux bleus qui avait disparu en fin d'année dernière (puis était réapparue la semaine dernière), entrevue qui confirma, c'était prévisible (et prévu), un nouveau fiasco fémino-côtoyant (puisque réapparue pour l'unique motif de s'excuser de sa disparition, avant de disparaître à nouveau... ce qui s'avère, soit dit en passant une attitude certes polie, mais toutefois un tantinet insolite), force est de constater que l'adversité m'a plutôt gâté en ce jour pluvieux et humide.

Et alors que je prévois, fort matinalement demain matin, de me rendre par pédalocomotion mouillante en un endroit distant et administro-sercice-publiquien afin de tenter de résoudre (au moins) une partie des délicats soucis financiers apparus subitement dans mon horizon quotidien, je reste fort curieux des efforts que l'adversité taquine et retorse ne va certainement pas manquer de mettre en oeuvre pour me compliquer la tâche, ce qui reste toutefois, il faut le signaler ici, la marque d'une petitesse finalement assez pathétique (déjà évoquée, entre autre, ici, là et encore ici).

Dont acte.

Comments

[gilda]

Tiens peut-être que si on présentait ta féminine créature aux yeux bleus à mon non-amoureux, lui-même au regard pâle, oui, peut-être qu'ils s'entendraient.
(dans le genre insolite, ils sont assez cousins).

Courage pour le reste.