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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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10 mars 2011

le (serein ?) serin

Ces derniers jours, en des circonstances diverses et variées, je me vois confronté à ce qui pourrait être interprété comme une (assez étonnante) multiplication (?) de signes (?) également divers et variés (éléments informatifs, expériences ou anecdotes relatées par personnes récemment croisées, et même (légère) emprise mémorielle d'une singulière (et actuelle) chanson entendue par hasard (?) et virevoltant récurement dans mon intérieur interne) tournant autour d'une même (saugrenue ?) thématique globale, à savoir les oiseaux.

Si j'étais le genre de personne susceptible d'envisager la survenue d'un faisceau synchrone et (temporellement) regroupé d'éléments spécifiques comme un message volontaire de l'univers à son intention (la mienne donc), force est de constater que je rencontrerais probablement de grandes difficultés à essayer d'en percevoir le sens exact, d'autant plus, et l'on peut souvent le constater en ce lieu blogguesque, qu'une naturelle (et constitutive) inclinaison de ma personne me rappelle récurement (autant que métaphoriquement) à des situations certes animales, mais plutôt cantonnées dans la sphère spécifique des petits mammifères à queue chatoyante (ou pas) susceptibles de s'ébattre ludiquement en de grandes étendues verdoyantes baignées par une douce lumière soleillique.

Donc pour les raisons (confusément) évoquées juste précédemment, ainsi que par naturelle (et constitutive ?) inertie (ou paresse ?) et me trouvant également relativement coutumier d'une perception du monde plutôt (singulière et) précise dans laquelle prédomine le chaos et l'arbitraire (ainsi que l'absence de sens concomitant ?), je m'abstiendrais présentement de tenter d'essayer de comprendre (quelle drôle d'idée !) pourquoi j'entends tant parler d'oiseaux ces derniers jours.

L'on pourrait même dire que je reste serein sur le sujet, n'était-ce le fait (difficilement contestable) qu'une simple et légère modification orthographique de l'adjectif présentement usité me ferait abruptement (et derechef) basculer de nouveau dans l'étonnante thématique dont il est question dans cette (présente) note, (vous voyez que j'exagère pas...).

Enfin bref.

Je pense que je vais maintenant m'envoler vers le lieu cuisinique afin de picorer quelques molécules aqueuses, avant de, délicatement perché sur le rebord de la fenêtre, contempler l'espace extérieur environnant, (en me lissant éventuellement les plumes...).

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Commentaires
B
Les toutes dernières lignes ont étonnamment quelque chose de très inquiétant. Cette impression de basculer dans la folie douce.<br /> On t'imagine déguisé en volatil vert devant la fenêtre, l'image est certes grotesque, mais devient soudainement plausible, ici. <br /> Fascinant. Enfin confondant, pour le moins.
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