climatologie dégressivement turbulente

Pour la première fois depuis ce qu'il me semble être une éternité (qui en vérité tient sur une quinzaine de (ces derniers) jours environ), je me suis réveillé (tôt) ce matin sans cette intense fatigue (aux multiples causes (malencontreusement) synchrones: peu de sommeil, impressionnante surcharge activique et inattendu basculement dans une surprenante (et intense) fémino-côtoyance...) qui s'était, à l'instar de la sensation colérique apparue en début d'années (cf. notes antérieures), confortablement installée en mon intérieur interne ces derniers temps.

Ainsi, après une (courte mais) bonne nuit de sommeil, c'est avec une bonne forme, adéquatement accompagnée par une météorologie fort clémente et ensoleillée, que je me suis rendu ce matin au bar en bas du boulevard pour une agréable prise caféïque, avant de déplacer géographiquement ma personne par voie automobile (empruntée) en un lieu lointain, dans le cadre de la (finale) réalisation (et dernière d'une compacte et longue série) d'un projet non hypothétique en partenariat amicalo-professionnel(le).

Il peut être intéressant (ou pas) de signaler ici que réalisations (enfin) terminées de différents projets non hypothétiques ainsi que lointain (et circonstanciel) éloignement (temporaire) de la (charmante et) féminine créature prochement (autant que récemment) côtoyée sont les deux éléments qui, outre m'octroyer un territoire temporel apte à un repos bien mérité (et à la recharge des ressources énergétiques rendu indispensable par probabilité (toujours) statistiquement signifiante d'une attaque, lâche et veule, pernicieuse et perverse, de l'adversité taquine et retorse qui, je dois bien le reconnaître honnêtement (et un tantinet perplexe), m'a quand même bien laissé tranquille ces derniers temps, (qu'elle en soit ici (fourbement) remerciée...)), sont les deux éléments, reprends-je donc avec printanier allant, qui vont, selon toute vraisemblance, me permettre de revenir à ma (non) activité usuelle, constitutive et coutumière, à savoir ne rien faire de spécial. Il était temps.

Ou sinon, aujourd'hui il a fait beau, et il a commencé à faire (un peu) chaud. C'est (plutôt) bien.