la mémoire des éléphants
J'aurais pu aujourd'hui raconter dans quelles (anecdotiques) circonstances une (par ailleurs (très) charmante et) blonde féminine créature (sorte de nicole K. d'arrondissement) a partagé avec moi (et ce matin) une prise caféïque au bar en bas du boulevard, alors que du fait d'un lointain (et précèdent) différend (auquel elle se mêlait à l'époque fort inopinément) avec une (bonne ?) amie à elle (se trouvant être la (non moins) charmante et féminine partenaire amicalo-professionnelle qui défraya (malencontreusement) la chronique en ces lieux blogguesques à la fin de l'année deux mille huit...), nous étions restés prés de deux ans sans nous parler (et très volontairement, pour ma part), nous contentant de juste (très) vaguement nous saluer en milieu terrassique, quand une élémentaire bienséance rendait la chose incontournable.
Je m'en abstiendrais présentement, tant par (constitutive) paresse que relatif (et personnel) désintéressement quant à ce micro-événement sans conséquence pour ma personne.
Dont acte.