le retour des choses
Il y a une chose que je faisais avant d'effectuer la (semaine-dernièrienne) translation géographique de ma personne en un lieu lointain (et familial), dont je suis revenu (et cette (présente) phrase en cours de (difficultueuse) construction en est la preuve incontournable, seulement possiblement démentie par une quantité de mauvaise foi tout bonnement exceptionnelle, mais sait-on jamais ?), et que je ne fais plus depuis mon retour en intérieur domestique.
Il peut être intéressant (ou pas) de préciser ici, (sans que cette précision n'amène (malencontreusement ?) plus de précision sur la chose en question, qui restera, pour l'heure, résolument tue (?), sans motifs particuliers par ailleurs...), que c'est une (plutôt) bonne chose que je ne fasse plus la chose que je faisais il y a encore quelques jours.