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ce que je fais de mes jours (deuxième saison)
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4 août 2007

la (nouvelle) prévenance départante

Une nouvelle fois, (oui je sais cela est un peu lassant, mais qu'y puis-je vraiment en définitif ?), une lointaine (et multidirectionnelle) translation géographique de ma personne va m'éloigner pour une (bonne) douzaine de jours de mon intérieur domestique, et ce, une (encore) nouvelle fois, (tout le monde l'aura compris, en tout cas celles et ceux fréquentant régulièrement cet espace blogguesque), à des fins de réalisations de projets non hypothétiques en partenariat amicalo-professionnel. Cette fois-ci, ces déplacements voiturierement autoroutiers (?) vont me conduire (sauf confrontation inopinée et brutale avec un autre usager autoroutier, voire avec une barrière de protection ou tout autre objet volumineux) respectivement à Morlaix (en Bretagne), à Libourne (pas en Bretagne) et à Pornichet (en Bretagne), avant un (souhaitablement prévisible) retour en mes pénates (?) en milieu aoûtien. Il peut être toutefois intéressant (ou pas) de signaler ici, d'une étonnamment prévisionnelle façon, la possibilité non négligeable (et donc raisonnablement envisageable), une fois de retour en intérieur maisonnique, d'un nouveau (rapide) départ personnellement (autant que géographiquement) translationnel, qui serait, cette fois-ci (chose assez exceptionnelle pour être soulignée ici), à but uniquement vacancier. En effet, baignant depuis quelque temps déjà, (plusieurs milliers d'années ?), dans une humeur passablement maussade, lasse et autistique, répondant à l'exceptionnelle invitation d'un ami de longue date me proposant un séjour individuel sous tente en milieu forestier, et n'ayant plus dormi dans une tente depuis quelque temps déjà, (plusieurs millions d'années ?), ni réellement séjourné en milieu naturel, force m'a été de constater l'aspect résolument séduisant d'une telle (inhabituelle pour moi) proposition. Ainsi, après translations géographiques en cohabitance amicalo-professionnelle et stagnation maisonnique en cotoyance personnages de séries anglo-saxonnes, il y a fort à parier qu'un séjour solitaire en milieu forestier naturel, uniquement entouré de petits mammifères à fourrure (ou pas), risque de constituer un (salutaire et dépaysant) changement d'atmosphère, susceptible de me permettre de reconstituer un peu d'énergie afin d'affronter la (non moins) prévisible rentrée prochaine. Ou pas.
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